Le Transformateur, nouveau lieu du Ballet d’Europe
Dix ans après avoir monté le Ballet d’Europe, Jean-Charles Gil se lance dans une nouvelle aventure avec le Transformateur. Toujours aussi artistique qu’atypique.
Dix ans après avoir monté le Ballet d’Europe, Jean-Charles Gil se lance dans une nouvelle aventure avec le Transformateur. Toujours aussi artistique qu’atypique.
Quel pari fou que d’adapter au théâtre une œuvre comme Le Capital de Karl Marx. Sylvain Creuzevault nous démontre pourtant encore une fois qu’une des forces de l’art réside dans sa capacité à s’approprier un sujet complexe pour nous questionner sur le fond comme sur
L’été approche à grands pas, et avec lui la saison des prestigieux festivals de musiques dites actuelles. Difficile de se faire une place au soleil quand la plage est pleine, alors certains s’exposent aux premiers rayons en s’affichant au printemps. Tour d’horizon des réjouissances imminentes.
Le Retrogaming Show, festival consacré aux arts numériques et au patrimoine du jeu vidéo, prendra une nouvelle fois ses quartiers au Dock des Suds. L’occasion de (re)découvrir les machines et créations du passé, et de se pencher sur l’histoire de ce qui est devenu la
En équilibre instable depuis la fin de l'année "Capitale", le Festival du Livre de la Canebière n’est pas mort. Il affiche au contraire une formidable envie de vivre. Alors que les obscurantismes divers et variés pointent leurs nez, il éclaire la plus fameuse artère marseillaise
A l’occasion des vingt ans du [mac], Thierry Ollat revisite la collection avec une exposition rétrospective à la hauteur de l’événement : historique, et pour cause
Si Van Gogh a fait d’Arles l’un de ses sujets de prédilection, la commune ne lui avait pas, jusqu’ici, rendu l’hommage que le peintre méritait. C’est désormais chose faite avec la Fondation portant son nom, inaugurée voilà deux mois.
A force de vouloir entrer en galerie, le street art et le graffiti vont-il finir par déserter les murs de la ville ? Selon ses défenseurs, les cimaises des lieux d’expositions permettent au contraire un véritable enrichissement, offrant une nouvelle facette de ce qu’on appelle
Trois ans après son ouverture, Didier Gourvennec Ogor tire la sonnette d’alarme en attirant l’attention sur la situation difficile des galeries privées à Marseille qui ne trouvent pas leur public d’acheteurs et de collectionneurs. L’exposition Happy Hours replace les choses de l’art dans un contexte
Dans le cadre de la manifestation Cour(t)s-y-vite, en partenariat avec Tilt, une dizaine d’élèves de l’école Bernard Cadenat a concocté, tout au long de l’année, une programmation de films courts.
Fin de saison pour l’équipe de l’Institut de l’Image d’Aix-en-Provence, qui propose en juin et juillet un cycle large, Les Classiques de l’été, au sein duquel le grand cinéaste américain Samuel Fuller se taille, pour notre plus grand plaisir, la part du lion.
Le cinéma Le Méliès de Port-de-Bouc consacre au mois de juin une petite rétrospective à l’immense acteur italien Gian Maria Volontè, figure tutélaire de la production transalpine des 70’s.
Septième édition pour le festival B-Side, qui laisse cette année une place de choix aux scènes garage et psyché : l’underground rock à son meilleur niveau.
Archivage, mondialisation, bouleversements écologiques, domination de l’écrit face à l’oral… La pratique du field recording (enregistrement de terrain) demeure à plus d’un titre au centre des préoccupations contemporaines et de la dernière édition, toute particulière, du festival Sons de Plateaux. Mais, à l’image d’un renouveau
Née en 2011, la création Calacas de Bartabas reprend le chemin de l’arène et remet les morts à cheval pour une danse terrifiante et joyeuse, où le macabre le dispute au rire.
En écho au cycle d’exposition Des artistes dans la cité, le MuCEM s’offre un temps fort pour soulever les problématiques du Maroc contemporain par le biais de l’art et la littérature.
Trois jours, trois parcours, trois quartiers à vivre sans a priori ni modération, en glanant d’expositions en vernissages, ce de quoi l’art actuel est fait : en route pour la sixième édition du Printemps de l’Art Contemporain.
La Fondation Vasarely accueille une exposition collective, à l’initiative de Fanny Serain et Djeff, questionnant la notion de Laps, cet intervalle de temps qui ne peut se conjuguer au présent.
Des photographes triés sur le volet par le magazine Compétence Photo se sont prêtés au jeu du cadavre exquis, répondant à une photographie par la création d’une nouvelle image. Le résultat est à découvrir à la Fontaine Obscure.
L’association L’art prend l’air présente la flamboyante Marseillaise Judith Bartolani, dont les œuvres, à la fois colorées et empreintes d’une certaine gravité, viennent prendre une dimension quasi sacrée au sein de l’espace magistral qu’est la Chapelle des Pénitents bleus, à La Ciotat.
Jusqu’en juillet, le Château de la Buzine propose un court cycle cinématographique consacré aux vies de musiciens, avec une large place laissée aux biopics des stars phonographiques, dont la vie s’est reconstruite sur grand écran.
L’Alhambra accueille une partie de l’édition 2014 de la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes, offrant l’occasion, sous forme de séances de rattrapage, de découvrir les œuvres sélectionnées cette année, dont bon nombre se révèlent passionnantes.
Du 23 au 25 mai, l’arrière-pays provençal ouvre une fenêtre sur le monde, avec les premières rencontres documentaires à Cucuron : durant trois jours, le cinéma Le Cigalon invite le mythique Festival Jean Rouch pour une série de projections consacrées aux films ethnographiques.
Le dimanche 25 mai, la Friche La Belle de Mai accueille au Gyptis une nouvelle édition de ses Ciné Dimanche, marathon cinématographique ouvert à toutes et tous, mêlant œuvres grand public et création exigeante.
« Être stupéfait, c’est être figé. La surprise, quant à elle, conduit à la réflexion. Lorsque l’on est surpris, l’imaginaire s’ouvre, et le questionnement se met en marche. » Ainsi Christian Sebille, le directeur du GMEM, nous aiguillait-il il y a deux ans sur ce
A l’occasion de sa venue au Théâtre Nono dans le cadre du festival Tendance Clown, le « King of Fools » s’est prêté au jeu de l’interview. Avec tout son sérieux, ou presque.
Après avoir investi les calanques et métamorphosé Marseille, Lieux Publics continue de faire de la ville un terrain de jeu avec le festival Travellings. De parcours urbains en explorations sensorielles, le hors-champ est de mise pour découvrir Marseille autrement.
Encore méconnu, le monde sous-marin se dévoile à travers deux cycles, l’un à la Villa Méditerranée, l’autre au Muséum d’Histoire Naturelle : une plongée en eaux profondes.
Pour fêter dignement son vingtième anniversaire, Astérides se fend d’une publication retraçant son histoire, et rassemble, avec l’exposition Pop-Up, une vingtaine d’artistes qui ont marqué son aventure.
Le cipM accueille la peintre et poète libanaise Etel Adnan pour une exposition de dessins célébrant la beauté et le mystère du mouvement de la vie.