La trente-deuxième édition de la Fiesta des Suds vient de

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Un cinéma qui s’éteint, une librairie incendiée, un festival sur

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Au programme de la rentrée, sur toutes les chaînes et les radios, à la une des journaux comme sur les bancs de l’école, l’économie

N’avez-vous pas remarqué à quel point les tuniques des équipes de foot de l’Euro 2016 sont ternes et sans relief ? Les maillots se déchirent,

Entre les grains qui prennent en otage les spectateurs de Roland Garros et les coups de matraque trop généreusement dispensés, les mauvaises nouvelles pleuvent.

Ainsi François va mieux. Il a pris un bain d’optimisme, il s’est lavé les mains des contestations. Mais François tient encore en main son

« Je suis l’homme qui rêve qu’il est un homme », a dit le poète. Nuit après nuit, debout, des hommes et des femmes rêvent éveillés.

Un an passé à s’immerger dans les chiffres, les noms et les dates, à recouper et vérifier les informations. Un groupe de plus de

Table rase   Les forces de l’ordre sont mobilisées comme jamais contre l’objectif. Cette infamie. La laisser vivre, survivre, grandir, c’est saper les fondements de la

La loi du marché sur la tête   « Plus de libertés, plus de protections, pour plus d’emplois. » La novlangue n’a jamais été aussi bien parlée que

Petite devinette. Quel est le point commun entre un resto sur le Vieux-Port et une école primaire à Marseille ? L’apparence de salubrité. Si

Hé ho, on part trois semaines en Ardèche pour lâcher un peu la machine et quand on revient, qu’est-ce qui se passe ? Tout le

Depuis quelques jours, nous pensons beaucoup à cette annus horribilis que l’on vient de vivre, balançant, dans un cynisme ambiant, d’un extrémisme (salafiste) à

Quelle magnifique faculté de résilience ! Quelques mois seulement après le coup de semonce de janvier, l’autruche, tête enfouie et cul tendu, n’y pensait déjà

« Voir un homme mourir, c’est voir tous les hommes mourir. De même, lorsqu’une langue disparaît, c’est toutes les langues qui meurent. » Ainsi le linguiste

Atmosphère. Trois Marseillais sont encore morts pour rien, du shit en fumée. Un car de retraités prend feu, l’info continue ressasse le banal accident,

Comme vous pourrez le constater dans ce numéro (et les suivants), le pure player Marsactu dispose désormais d’une fenêtre papier dans Ventilo. Accompagner le retour

« Allez mange, sinon tu vas pas grandir. » La croissance est la fiction la mieux entretenue par notre époque. On y goûte, enfant, et on

L’été est venu détendre les muscles. Les vagues et le loin ont apaisé l’esprit. Les nerfs ont pourtant bondi à la première piqûre de

En interdisant, dans un premier temps, le passage du tour Alternatiba à Marseille, le maire de la cité phocéenne a sans doute, à son

Du timbre au tweet, notre génération est le témoin d’une évolution radicale de nos moyens d’échange à distance. Nous raconterons à nos petits-enfants que

Bien à l’abri derrière nos frontières, notre nationalité et nos lois, avec pour seul mérite d’être nés du bon côté de la barrière, nous

De l’énergie à revendre Une bonne nouvelle chasse l’autre en ces temps heureux. Ne boudons donc pas notre plaisir à l’évocation de l’accord entre puissances

D’affolement en réflexion posée, le problème reste devant nous. Le Pen gagnait jusqu’à présent les esprits. Elle gagne désormais du terrain. L’implantation sur tout

Cette année, le printemps commence le vendredi 13 mars. Pour que le Ravi redresse les bras, la crème de la crème de la scène

Avant même Edward Snowden, un fameux lanceur d’alerte se trouvait dans nos rangs. Hervé Falciani, ancien informaticien français de la banque HSBC, a ainsi

Serge Gainsbourg provoquait avec délice, dans son Requiem, ce scélérat mort pour l’avoir été, ce pauvre con. On en a maudit quelques uns. Et

Quel immense gâchis. Il y a quelques jours encore, Charlie Hebdo était au bord du dépôt de bilan dans une indifférence quasi générale. Anesthésiés

Après quatre mois la tête dans le guidon, la rédaction profite de la trêve des confiseurs et de la relative disette culturelle pour prendre

Plier son journal, le poser, le reprendre et le lire. Un plaisir sans cesse renouvelé, dans l’ordre et le désordre. Mais dépassé ? C’est ce

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