Allez, on en remet une petite couche sur la Mesón, parce qu’une quinzaine sans visiter l’antre de la douceur sonore est forcément plus fade. Elias Dris, c’est ce (très) jeune chanteur de folk franco-américain qu’on a découvert dans cette même salle avant la grosse grippe,
Pas de mais. En mai, on retrouve non pas un concert, mais deux soirs pluriels d’invitations à la Mesón, imaginées par notre James Blake de PACA, Martin Mey. Alors que l’on vous présentait son deuxième album comme celui d’une maturité aux machines et en solo
Musique nomade : qui mieux qu’une descendante du maître Django pour faire voyager les programmations marseillaises dans l’arrière-pays ? Elles n’en sont pas à leur coup d’essai, les salles, dans leur nécessaire effort de programmations communes, permettant par là même aux artistes de condenser les frais, et
Vous le savez, on n’hésite jamais à vous conseiller une soirée dans le plus chaleureux des petits antres musicaux du centre-ville. Après une accalmie hivernale frustrante, la Mesón dévoile une programmation printanière à son image : ouverte et découvreuse. L’occasion de profiter de cartes blanches (Martin
Car elle mêle mélancolie et onirisme, on en rêvait, de cette soirée d’hiver. La Mesón, une fois n’est pas coutume, coud un programme musical calé sur les saisons. Faisant fi du froid farceur, la salle allie avec le cœur élans de douceur et de chaleur.
Sublime ovni que Laura Perrudin, compositrice, chanteuse, harpiste. Parlons de la harpe, d’abord ; celle, créée par le luthier Philippe Volant spécialement pour l’artiste en modèle unique, chromatique et électrique. Une harpe à 61 cordes s’émancipant des pédales et des palettes de demi-ton, permettant une
Parce que le festival Jazz sur la Ville rime souvent avec ouverture sur le monde, la soirée prévue à la Mesón promet un groove chaloupé grâce aux rythmiques afro-colombiennes averties du groupe Aïtawa. Avertie car tous les musiciens, jusqu’aux moins colombiens d’entre eux, vibrent d’une
Olé beaux jours Le flamenco et la Mesón sont indissociables, de par l’histoire du lieu et la très forte empreinte culturelle gitane de la région, et par là même la proximité de maîtres de la musique et de la danse. Entre cours de danse et chaudes
L’entretien Sarah de la Mesón, Fred de Comparses et Sons et Pierre-Alain du Cabaret Aléatoire Une des répercussions positives de cette saleté de virus : le festival Au Large, né de l’envie commune du Cabaret Aléatoire, de la Mesón, de Comparses et Sons et du Mounguy de proposer, ensemble,
On suit les yeux fermés la sélection printanière, rock à souhait, de cette bergère musicale qu’est la Mesón. La seule question qu’on se pose, c’est la température qu’il fera ce soir-là, entre les petits murs de la rue Consolat. Fabulous Sheep, c’est un groupe de
Nez creux lorsqu’il s’agit de révélations musicales, la petite salle aux multiples casquettes de la rue Consolat se fend d’une « reprise » rafraichissante. Au-delà de son expertise flamenca, elle se fait souvent tremplin des talents de demain. Elias Dris, c’est ce (très) jeune chanteur de folk
Au maniement de la diction servant les revendications, Edgar jamais ne s’égare. Tiré au couteau, son slam vous sort du vague-à-l’âme. Un concert d’Edgar Sekloka, c’est l’occasion devenue bien trop rare d’entendre rimer idéologies et musicologie : il a ce talent non caché d’orchestrer ses
Fesses, tifs, c’est de la tête aux pieds que nos corps s’agiteront frénétiquement ce vendredi. Comme à la Mesón, la petite salle de la rue Consolat orchestre une rentrée décapante, nous permettant par là même de retrouver la salle centrale du Cours Ju. Les neuf
L’équipe est fantastique Pour sa première édition, le festival Au Large initie la saison estivale dans les arènes du Théâtre Silvain, du 2 au 4 juillet. Une programmation musicale éclectique et aérienne dessinée par l’Équipée, fruit de l’étroite collaboration entre structures bien connues de la scène locale : la Mesón,
Confortons les esseulés de la rue Consolat, la Mesón se concerte et concocte un concentré sonore pour que la culture batte plus fort, encore. Entre considération et projets collectifs, les attentes et projections de la petite salle proche des Réformés mettent en lumière la capacité
Volcan actif Un an tout pile après une ouverture sur le fil, le 6Mic offre une nouvelle opportunité de découvrir son immense espace, grâce à une émission offrant la visite en ligne de douze des lieux qu’il abrite. Rythmant cette promenade insolite, dix-sept artistes parmi les
Cordons bleus L’équipe de Jazz sur la Ville fait donc le pari de maintenir le festival éponyme en dépit de tous les obstacles liés à la pandémie. En ces temps d’effondrement, cet évènement prouve combien le jazz peut être un écosystème culturel résilient fondé sur l’entraide. Têtes
Arrosée, la nouvelle année, pour certains sans nausées, on n'ose pourtant envisager une reprise trop rapide des soirées amplifiées. Il ferait bon se raviser, et se laisser ravir, revigorer, par les harmonies vocales épurées de Pauline Willerval et Lisa Langlois, chanteuses ensorceleuses du groupe La
Carte du tendre en bleu Plus qu’un festival, l’évènement automnal Jazz sur la Ville prend les atours d’un territoire sublimé par la mobilisation de partenaires amoureux des notes bleues. Aimer le jazz quand la nature s’endort, c’est descendre doucement les flots du fleuve Inclination avec les
Un dernier, une première. Dernier Son de notre Canebière, première date de Jazz sur la Ville. La Mesón, dans la continuité du thème fusionnel semblant toucher la musique actuelle, nous propose un plateau varié. Forts de notre heure de sommeil supplémentaire, il sera délectable de
POC POC POC ! Cela fait treize ans que le festival POC anime les Réformés et les Hauts de la Canebière chaque premier week-end d’octobre. Il fédère les artistes, commerçants, habitants désireux d’ouvrir leur porte tant aux curieux qu’aux milliers de festivaliers. « Nous avons besoin de vous,
N’en déplaise à ceux qui disent à qui veut l’entendre qu’à Marseille, c’est compliqué d’écouter des concerts de qualité ou de faire venir de grands artistes, la Mesón, comme à son habitude, cloue le bec aux plus pessimistes en réunissant trois pointures pour un plateau
Grand retour des Dimanches de la Canebière, rendez-vous mensuel permettant aux badauds petits et grands, férus d’arts et de cultures, promeneurs curieux, touristes perdus et autres âmes esseulées de s’instruire, se divertir, aimer, rire, voir, danser, au fil de cette artère centrale qu’est la Canebière.
Cœur battant Vendredi 11 janvier, 20h30, à la Mesón, rue Consolat. Salle comble. Sur scène, la formation One Shot Lili, quartet mené par une talentueuse batteuse chanteuse qui, d’un coup de baguette, vous embarque dans un univers aux influences multiples, à mi-chemin entre le rock et
Lafore tranquille La Mesón invite David Lafore, artiste libre et discret à la fois, au répertoire langoureux et provocant, au charme indéfinissable, dont nous suivons l’ascension depuis ses premiers albums. Son retour dans la cité phocéenne pour une carte blanche valait bien un portrait de ce
Créé en 2014 autour de la batteuse Aurélie Agullo, One Shot Lili est un groupe marseillais qui regroupe des musiciens venus d’horizons diverses : Sylvain Terminiello, le bassiste du groupe Namaste ; Kalliroi Raouzeou, la pianiste chanteuse des Dames de la Joliette ou encore le guitariste Benjamin
Yul, never walk alone À la fois compositeur, musicien, chanteur et producteur, le touche-à-tout Yul présente son nouveau projet dans le cadre du festival Jazz sur la Ville. Présentation. Borsalino vissé sur la tête, l’homme est grand, mince ; Yul s’exprime tranquillement en choisissant méticuleusement ses mots. Sur
La fleur de jazz Cent ans de jazz, douze ans de Jazz Sur la Ville. L’évènement automnal serait-il une fontaine de jouvence ? La profusion des propositions et des lieux qui les accueillent donne à voir un jazz buissonnant, débordant le cadre métropolitain sans se défausser de
Fils d’un père saxophoniste guadeloupéen, Sonny Troupé s’intéresse à la musique dès son plus jeune âge en se passionnant d’abord pour le tambour Ka, instrument traditionnel des Antilles, puis pour la batterie. Petit génie, il rejoint son premier groupe à l’âge de six ans. Depuis
Nouvelles de l’Inde plurielle Ce mois-ci, l’Inde pose ses bagages dans l’actualité artistique marseillaise. Focus sur trois événements mettant à l’honneur cette culture. Le Festival Mehfil Comme aiment à le rappeler Maïtreyee Mahatma et Nabankur Bhattacharia, artistes indiens de Calcutta et créateurs du festival, les Mehfil, soirées réservées