Focus 157 – Jack de Marseille
<p>Avec le temps, assassin lorsqu’il s’applique à la nature mouvante de la musique électronique, on avait presque oublié cette évidence : l’un des meilleurs dj’s français... (lire la suite)</p>
<p>Avec le temps, assassin lorsqu’il s’applique à la nature mouvante de la musique électronique, on avait presque oublié cette évidence : l’un des meilleurs dj’s français... (lire la suite)</p>
<p>Prince de la rengaine <em>borderline</em>, musicien malgré tout, ami des bêtes et idole de la rédaction, Didier Super a osé faire dans l’industrie du disque (ce que personne n’avait jamais fait auparavant). La bave aux lèvres, notre apprenti journaliste a voulu en savoir plus, et s’est retrouvé malgré lui – mais fort logiquement – avec un concept à la hauteur du mythe : l’interview tragique... (lire la suite)</p>
<p>Le <em>Carmen</em> de Georges Bizet, créé en 1875, est l’un des opéras les plus populaires de l’histoire de la musique. Les auteurs du livret, Henri Meilhac et Ludovic Halévy... (lire la suite)</p>
<p>Loin d’être un rescapé de la vague « lounge », le groupe le plus marquant de la scène viennoise vient présenter, au Cargo arlésien, sa dernière mue en date : rare... (lire la suite)</p>
<p>Mr De' est un producteur de funk électronique inspiré, président du label et distributeur Submerge, unité militante et indépendante qui diffuse depuis quinze ans le meilleur de la techno de Detroit. Plus ambitieux que son premier album <em>Electronicfunkyshit</em>, ce disque se présente comme un panorama du son de la Motor City... (lire la suite)</p>
<p>The Rakes le 5 au Moulin<br /> Guylaine Renaud le 6 au Dock’s Café<br /> Raekwon le 6 au Trolleybus<br /> Diva le 6 au Planète<br /> Têtes Raides le 8 au Moulin</p>
<p>Il est des parcours qui forcent le respect : retour sur celui, tumultueux, du créateur allemand Peter Mertes, qui ouvre ce week-end une boutique à Marseille… (lire la suite)</p>
<p>On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans, mais on rêve de changer le monde à sa manière... Quatre jeunes romains qui se connaissent depuis l'adolescence vont devenir les parrains survoltés des années de plomb italiennes. Le script a beau être issu d'un livre lui-même inspiré par des faits réels, l’ensemble n'en reste pas moins convenu : apogée, mégalomanies, trahisons à la pelle, meurtres... Avec l’impression dominante d’un film long et bancal... (lire la suite)</p>
<p>l’Apocope / Château de Servières <br /> Rencontres de l’Orme <br /> Laurent Wolf<br /> distribution cinématographique en marge<br /> Planing familial<br /> Cinestival<br /></p>
<p>Photographe marseillais au geste subtil, vagabond sans illusions, voleur de temps en sursis, Pascal Grimaud expose à l’Atelier de Visu... (lire la suite)</p>
<p>Roy Ayers > le 22 à l’Espace Julien<br /> Plunky & Oneness of Juju > le 24 au Cabaret Aléatoire<br /> Breakestra > le 25 au Cabaret Aléatoire<br /> Yann Tiersen > le 25 au Moulin<br /> 113 > le 26 à l’Espace Julien</p>
<p>Récompensé par le prix du Jury au festival de Cannes 2005, <em>Shanghai Dreams</em> permet à son auteur, Wang Xiao-shuai, d’explorer son propre passé et de rendre hommage à toute une génération de Chinois qui a eu un parcours similaire au sien. Dans les années 60, sur les « recommandations » du gouvernement... (lire la suite)</p>
<p>Dans <em>Bag and Bagage</em>, à la galerie de l’école des Beaux-Arts, on a repéré Alain Domagala, qui joue des espaces entre les mots et les choses et des échelles de construction (des utopies), tandis qu’au Bureau de Compétences et Désirs, le Cabanon Vertical s’approprie l’espace public avec une réflexion critique sur les chantiers qui sont en train de modifier la sociologie de la ville... (lire la suite)</p>
<p>Emmanuel Todd<br /> Le Vieux Port<br /> la santé mentale<br /> Reillanne</p>
<p>Les Neurotic Swingers jouent vite, triment dur et voient loin : normal, ils incarnent la relève d’un punk-rock originel au-delà des modes... (lire la suite)</p>
<p>Parler de chef-d’œuvre pour un nouveau Daniel Clowes est un pléonasme. Chacun de ses albums, même peu (ou pas du tout) médiatisé, constitue un événement majeur dans le petit monde de la BD indépendante. Depuis <em>David Boring</em> et, surtout, <em>Ghost World</em> (remarquablement adapté au cinéma par Terry Zwigoff), Clowes... (lire la suite)</p>
<p><em>El Cantor</em> est le premier long-métrage de Joseph Morder. Ce cinéaste a réalisé de nombreux court-métrages, documentaires et films expérimentaux, très souvent autobiographiques, abordant les thèmes de la mémoire, de l'enfance ou de la judéité, dont le plus célèbre reste <em>Mémoires d'un juif tropical</em>. La longueur des films change, mais les obsessions demeurent... (lire la suite)</p>
<p>Reprenant le célèbre <em>Journal d’un fou</em>, Hervé Novazio met en scène et campe la lente désillusion du fou de Gogol avec intimité... (lire la suite)</p>
<p>Très (trop) émoustillés à l’idée de rencontrer Albert Dupontel venu présenter son dernier film, <em>Enfermés dehors</em>, deux de nos rédacteurs se sont précipité au Capitole sans même avoir préparé leurs questions. Résultat : une interview à l’arrache. La volubilité du singulier créateur de <em>Bernie</em> leur aura-t-elle sauvé la mise?... (lire la suite)</p>
<p>Infadels le 10 au Poste à Galène Soirée Roots, slam, hip hop le 10 à El Ache de Cuba The Epoxies le 10 au Trolleybus Amnésie Internationale le 11 au Dock historique Oaì Star le 11 au Balthazar</p>
<p>Shellac est l’une des structures de distribution cinématographique les plus actives dans l’hexagone, dont le catalogue (Mouret, Deligny, Des Pallières, Klotz…) s’étoffe année après année avec la même exigence cinéphilique. Thomas Ordonneau, co-fondateur, ouvre actuellement une antenne à Marseille, nommée Shellac Sud, qui, outre le développement de la structure dans les domaines de l’édition vidéo et de la production, entend apporter son soutien à la diffusion dans la cité phocéenne d’œuvres rares. Dont acte avec une salve actuelle au Polygone Etoilé particulièrement inspirée... (lire la suite)</p>
<p>Le FRAC propose Partenaire Particulier, une exposition-laboratoire où des « œuvres à spectateur unique » invitent à une expérience en solitaire, à rebours de la tendance progressive à la spectacularisation et au tout événement dans l’art... (lire la suite)</p>
Même le Financial Times, autant dire la Bible du libéralisme, se le demande : « à quoi sert la croissance si elle ne rend pas heureux ? » Cette sacro-sainte croissance, portée aux nues par l’Occident car prétendu remède à tous les maux (chômage, financement des retraites […]
<p>Entre deux concerts dans sa ville d’adoption, une résidence à la Friche et la sortie de son album, David Walters aurait pu nous dire « Awa ». Mais les qualités humaines de cet artiste accompli en ont décidé autrement, une fois encore... (lire la suite)</p>
<p>Voilà déjà quelques années que les membres du Dead Pop Club portent haut l’étendard d’une pop-punk, plutôt décomplexée au regard de l’intransigeance du microcosme punk dans lequel ils évoluent souvent... (lire la suite)</p>
<p>A la fois personnage d’un road movie tourné sous le soleil californien et fan ultime de la pop sombre et suicidaire des annés 80, Denis Brun dessine un autoportrait au Centre d’Art Contemporain d’Istres, où des identités opposées sont réunies dans une créativité schizophrène... (lire la suite)</p>
<p><em><strong>« Il était une fois un homme qui avait de belles maisons à la ville et à la campagne, de la vaisselle d'or et d'argent, des meubles en broderies et des carrosses tout dorés. Mais, par malheur, cet homme avait la barbe bleue : cela le rendait si laid et si terrible, qu'il n'était ni femme ni fille qui ne s'enfuît de devant lui… »</strong></em></p>
<p>On en a beaucoup parlé ces dernières semaines et pour cause : Gouverner Marseille, le passionnant ouvrage co-écrit par le journaliste Michel Samson et l’anthropologue Michel Peraldi, débarque.. (lire la suite)</p>