Un peu de finesse dans un monde de brutes
<p>Aubagne est devenue le temps d’un concert la place forte du hip-hop en accueillant le génial KRS-ONE... (lire la suite)</p>
<p>Aubagne est devenue le temps d’un concert la place forte du hip-hop en accueillant le génial KRS-ONE... (lire la suite)</p>
<p>Certains s’y accrochent comme à une dernière lueur d’espoir, d’autres en font (à tort) la marotte du libéralisme triomphant, tous la chérissent comme Rousseau et Aragon en leurs temps. Mais qu’est-ce que la liberté au juste ? Et quelle valeur peut-on lui prêter aujourd’hui ? (lire la suite)</p>
<p>L’occasion était trop belle. Depuis le temps qu’on chronique les sorties DFA dans ces pages, sans jamais avoir l’occasion de voir débouler à Marseille – dans un club ou une salle de concerts – l’un des sociétaires de la maison new-yorkaise, on n’allait pas zapper... (lire la suite)</p>
<p>Où il sera question de Bertrand Burgalat : l’ombre tutélaire du grand manitou de la pop rétro plane en effet sur ces deux sorties, tout aussi délicieuses l’une que l’autre... (lire la suite)</p>
<p>Au cours des derniers siècles, une partie conséquente de la population mondiale s’est affranchie d’une préoccupation qui, depuis quelques millions d’années, n’avait rien d’une mode : survivre. Les inconvénients de cette économie originelle étaient... (lire la suite)</p>
<p>Que dire de Sfar sinon que tout ce qu'il fait ces derniers temps est complètement balourd (1) ? Ce coup-ci, on a droit à Pot de Miel et Grand Nez (ça donne le ton) qui partent à la chasse pour ramener de la viande parce que leurs femmes en ont ras-le-bol de manger du poisson... (lire la suite)</p>
<p>Au cœur de Soweto, l’inspecteur Zondi est confronté à de désagréables découvertes hebdomadaires : des cadavres mutilés et défigurés façon sacrifices vaudous. Ce policier noir connaît bien son pays et ses fantômes… (lire la suite)</p>
<p>Joëlle Léandre > le 17 à Montévidéo<br /> Silverio Pessoa > le 18 au Balthazar<br /> Mansfield.TYA + Talithaa > le 18 au Poste à Galène<br /> Rosa > le 19 à la Meson<br /> Lesbians On Ecstasy > le 20 à l’Embobineuse</p>
<p>Auteur qui s'abîme dans une lourde lucidité, dramaturge radical encore fidèle à un idéal d'« homme bon », dépositaire d'une violence silencieuse, crasseuse et galeuse, minimaliste sans remord, Lars Norén protège opiniâtrement ce que le théâtre a de plus précieux, l'espace et la descente des mots... L'enfer... (lire la suite)</p>
<p>Depuis une dizaine d’années, les Yes Men envoient régulièrement des pavés dans la mare politico-économique internationale, éclaboussant les responsables du bordel planétaire de la plus drôle des manières : en se foutant de leur gueule.</p>
<p>Elle, c’est la femme qui a aimé, c’est la voix écrite par Serge Valetti dans <em>Just Hamlet</em>, incarnée par Jezabel d’Alexis, mise en scène par Jean-Marc Fillet, jouée au théâtre de Lenche, celle qui nous attend... (lire la suite)</p>
<p>Le festival Les musiques aime la danse parce qu’elle épouse le son comme un gant. <em>Fractie</em>, est une pièce courte de Cindy Van Acker , une étude sur les possibilités du corps.s... (lire la suite)</p>
<p>Pour son douzième CINEvènement, l’équipe de la Friche convie Peter Biskind, auteur de deux récents best-sellers sur le cinéma américain : <em>Sexe, mensonge et Hollywood</em> (sur le cinéma outre-Atlantique des deux dernières décennies) et surtout <em>Le Nouvel Hollywood</em>, qui s’attache à décortiquer la prise de pouvoir des mythiques studios, dans les années 70, par une armada de réalisateurs. Des cinéastes aux dents longues, mi-beatnicks, mi-yuppies, qui allaient révolutionner le visage de la production nationale, voire mondiale. Lors de cette soirée exceptionnelle, Peter Biskind reviendra sur cet événement majeur de l’histoire du cinéma, qui connaît aujourd’hui une fin de règne toute en déliquescence... (lire la suite)</p>
<p>Si le cinéma américain tire la gueule, c’est aussi à cause des séries : depuis une quinzaine d’années, elles font la pluie et le beau temps en matière de création audiovisuelle, tant au niveau commercial qu’artistiquement parlant. Modeste tentative d’analyse d’un phénomène auquel <em>Ventilo</em> a totalement succombé.</p>
<p>Géant et œuvre monumentale<br /> Soleil Vert / Les petits bancs / Bancs Publics<br /> Epsilonia<br /> Sport été 13<br /> Digitick<br /> B.A.P.S.<br /> Mécènes du Sud</p>
<p>Deux créatures, en noir et blanc. Le noir, elles le portent à ravir, cela se sait, cela s’entend. Mais rien n’est tout à fait noir : c’est, dit-on, de l’ombre que jaillit la lumière. Et dans le cas présent, de l’underground qu’à jaillit... (lire la suite)</p>
<p>A trente-sept ans, Katerine rencontre enfin le succès qui lui est dû, en marge plutôt qu’au sein d’une scène chanson dont il est l’un des plus brillants artificiers. Tentative d’analyse du phénomène, bien loin de l’image de gentil fou qu’il véhicule</p>
<p>Pravda + Copyshop & Naommon > le 11 au Cabaret Aléatoire<br /> Fatale > le 12 au Poste à Galène<br /> Kabbalah > les 13 et 14 à la Meson<br /> Arctic Monkeys > le 14 au Moulin<br /> Mangue Beat Session > le 16 au Cabaret Aléatoire</p>
<p>Depuis quelques temps, la BD nord-américaine est à l’honneur chez les labels indépendants — ainsi que dans les collections « auteur » des grands éditeurs — et l’on ne peut que s’en réjouir, vu la qualité et le dynamisme de l’underground... (lire la suite)</p>
<p>Stéphane Bérard transforme la mécanique de l'humour noir dans une mise en scène où le « respect » du contrat est dépassé par le réalisme des détails. Un kamikaze non revendiqué, ni tragique, ni comique, exposé à la galerie RLBQ... (lire la suite)</p>
<p>Pour Fred Flower, dj/producteur aux allures de baba souriant, le bonheur est dans le vrai. Authenticité dans l’attitude, tout d’abord : l’homme se situe aux antipodes des pseudo-starlettes qui peuplent la « nuit marseillaise »... (lire la suite)</p>
<p>Bien décidée à accueillir les beaux jours en toute légèreté (et, avouons-le, à court d’idées pertinentes pour son édito), la rédaction se lance cette semaine un défi médiumnique. Jour par jour, voici les conclusions (pleines d’espoir) de son expérimentation divinatoire… (lire la suite)</p>
<p><strong>Clay Allison + Calc + Technicolor > le 27 au Cabaret Aléatoire</strong><br /> <strong>Métis ta zik > le 29 au Parc Chanot</strong><br /> <strong>Night of the dead Ratakans > le 29 à la Machine à Coudre</strong><br /> <strong>Karkan > le 30 au Balthazar</strong><br /> <strong>54 Nude Honeys > le 2 au Poste à Galène</strong></p>
<p>résenté sur la Croisette en Mai 2005, <em>The Great Ecstasy of Robert Carmichael</em> s’inscrivait dans la tradition cannoise des films sulfureux... (lire la suite)</p>
<p>La mise en perspective des univers que donnent à entendre les compositions de Dominique Petigand sur CD prennent une ampleur bien plus trouble en live. Assister à un de ses concerts c'est comme dénuder ses intuitions dans le noir, comme se surprendre en train de se connaître. Une expérience à part... (lire la suite)</p>
<p>Le théâtre du Merlan a réussi l’improbable exploit de réconcilier Marseille avec Pina Bausch. <em>Kontakhof</em> nous était présenté le temps de deux soirées inoubliables à la Criée... (lire la suite)</p>
<p>Niché dans la rue d’Aubagne, le Daki Ling ouvre régulièrement sa scène au théâtre. Un théâtre proche du public, où les mots laissent souvent place à la pantomime, à l’improvisation musicale et à la rupture avec l’habituelle dissociation acteurs/spectateurs, comme le démontre la compagnie Le Souffle avec <em>Les sages de Chelm</em>.</p>
<p>Arts/Rue/Essais<br /> Théâtre 27 <br /> Prix de peinture Jean-Michel Mourlot<br /> La Force de l’Art</p>
<p>Un an après le gargantuesque festival qui fit connaître l’Embobineuse à la face du monde, faisons un petit arrêt sur image, histoire d’être paré pour la seconde édition... (lire la suite)</p>
<p>Tremplins Sud<br /> le nouveau cinéma cubain <br /> la Compagnie<br /> concours de nouvelles</p>