Connue pour ses images intimistes et picturales sur le Royaume-Uni, Géraldine Lay ne voulait pas se laisser enfermer. Pour changer totalement d’horizon, elle a parcouru le Japon pendant quatre automnes successifs. Le temps de s’imprégner, de ressentir, de saisir des paysages et des gens loin
2019… Dans le contexte chaotique urbain marseillais (le « mur de la honte » érigé à la Plaine, l’effondrement des immeubles de la rue d’Aubagne…), Agnès Mellon et Chrystèle Bazin réalisent, dans les anciens ateliers du journal La Marseillaise, une scénographie puissante : photos qui se fragmentent
Retour aux ressources Au Panier, Vidéochroniques accueille jusqu’au 4 mai une exposition d’envergure mettant en lumière le travail de l’artiste plasticienne Victoire Barbot, anciennement installée dans les ateliers de la Ville de Marseille et à l’origine du projet Culot13. Une œuvre évolutive, à la fois conceptuelle
Lumière et toiles L’exposition consacrée à Damien Hirst sous le titre The Light That Shines offre pour la première fois à un seul artiste la possibilité de répartir ses œuvres sur l’ensemble du Château La Coste. En résulte une rétrospective éclatée, répartie dans différents espaces d’exposition
Crayons de soleil Après les Rencontres de la Photographie, la ville d’Arles lance la deuxième édition de son nouvel évènement d’ampleur internationale : le Festival du Dessin, à découvrir à la faveur du printemps. Le dessin est la phase préliminaire à toute forme d’art. Que ce soit
Les œuvres de La collection Lambert (en particulier celles données à l’État) et celles des collections du Mucem ont d’abord en commun un lien avec les cultures provençales et méditerranéennes. L’exposition revient sur le parcours d’Yvon Lambert, et son attachement aux richesses culturelles de la
L’art et la matière Étienne Krähenbühl est un sculpteur suisse, auteur d’œuvres monumentales qu’on peut découvrir tout autour du monde. Poussant jusqu’au bout sa passion pour la matière, il collabore avec des scientifiques et son art devient force de propositions. Il expose pour la première fois
Sacré footoir Partout des maillots de foot, sur les images et en vrai sur les murs. Une énième expo sur le sport, Jeux Olympiques obligent ? Non, un tacle, un uppercut, grâce à quelques phrases bien choisies. Messi ramasse les ordures. Ronaldo fait la guerre. Zidane
Unions consacrées En résidence au Sénégal sur le thème de l’amour, Charlotte Yonga, photographe franco-camerounaise, saisit des moments de désir et de peur, des forces et des failles, de l’intime amoureux et des amitiés tendres… Elle y associe une série réalisée à Malte qui dévoile des
Elle est plasticienne et collectionneuse. Il est photographe et plasticien. Et pour la première fois, ils exposent ensemble des œuvres anciennes et nouvelles autour de leur thème de prédilection : la femme. Car tous deux sont aussi médecins gynécos et, au-delà des gestes techniques, ont compris
Initiales BB Vous ne connaissez pas Benoît + Bo ? Allez donc faire un tour à la galerie Zemma ! Ce duo d’artistes franco-chinois expose pour la première fois à Marseille et nous invite dans un univers carnavalesque, entre folklore kitch et pop culture. Si au premier abord, cela
Questions de perspectives L’identité caribéenne comme fil conducteur, l’exposition Des grains de poussière sur la mer déploie une série de sculptures et d’installations fortement marquées par l’histoire coloniale des Antilles. Comme en écho au temps fort « Un champ d’îles » dans lequel elle s’inscrit, intitulé en hommage au
Énergie des espoirs Pour la sixième édition de La Relève, Parallèle s’est associé à Art-cade - Galerie des Grands Bains Douches de la Plaine et au Château de Servières, lieux où sont exposées les œuvres de jeunes diplômé·es d’écoles d’arts, locales pour la plupart. Une vingtaine
Libres échanges Jusqu’au 11 mars, la Galerie de la Manufacture à Aix-en-Provence présente Écritures en errance, une exposition originale qui a pour objectif de mettre en lumière les rapports entre écriture et images. Mêlant des œuvres d’artistes contemporains à des auteurs d’art brut, cette manifestation est une
Où et quand ? Chez Même Pas Mal (Marseille 6e), du 16/02 au 29/03 Pourquoi on y va ? Pour faire connaissance avec la nouvelle héroïne de Salomé Lahoche, dont on avait découvert les strips désopilants sur Instagram, puis dans l’hilarant album La Vie est une corvée, publié
Où et quand ? À Maupetit, Côté Galerie (Marseille 1er), du 22/02 au 30/03 Pourquoi on y va ? Parce que, dans une ville où le football est considéré comme une religion ou presque, il n’est jamais inutile de faire un pas de côté pour en appréhender tous
Où et quand ? Chez Oh! Mirettes (Marseille 6e), jusqu’au 2/03 Pourquoi on y va ? Parce qu’il n’y a pas de raison d’attendre le printemps pour monter en température et réveiller nos désirs. Avec ses dessins olé-olé, l’illustratrice marseillaise (que l’on suit depuis un moment déjà, et
Où et quand ? Au Musée d’Histoire de Marseille (1er), jusqu’au 10/03 Pourquoi on y va ? Parce qu’au moment où le droit du sol est remis en question par le ministre de l’Intérieur, et alors que les mots (et les idées) de l’extrême droite se retrouvent dans
Durant dix ans, de 2012 à 2022, Geoffroy Mathieu et Bertrand Stofleth, accompagnés de contributeurs, ont reconduit chaque année cent points de vues pris sur le GR2013. Le sentier métropolitain est un fantastique lieux d’appréhension du territoire, qui enjambe trente-huit communes entre espaces naturels et périurbains,
Où et quand ? Aux 8 Pillards (15 Rue des Frères Cubeddu, 14e), samedi 10/02 Pourquoi on y va ? Les Pas Perdus, groupe d’art contemporain collaboratif initié par Guy-André Lagesse, constitué d’artistes français et sud-africains, lance le Joyeux Débarras de plusieurs centaines de leurs œuvres (trente-cinq ans
Nu dans la foule Le Frac Sud invite le chorégraphe Boris Charmatz pour une exposition, sous le commissariat de Muriel Enjalran, où la danse devient un objet filmé et se confronte à la question de la peinture et de l’espace public. La danse filmée, c’est une recherche
Histoires naturelles Avec l’exposition inédite Mon pauvre cœur est un hibou, le Mucem transporte les visiteurs dans l’œuvre du prolifique René Perrot (1912-1979). Le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée a choisi, en cette fin d’année, de mettre à l’honneur ce peintre méconnu. Ce
Pourquoi on y va ? Si nos yeux commencent à saturer des guirlandes criardes et clignotantes, et nos oreilles des incessantes clochettes guillerettes, pourquoi ne pas leur proposer une immersion sensiblement plus subtile ? Lui aussi fait de sons, de lumières et de mécanismes robotisés, un ensemble
Pourquoi on y va ? Pour se laisser avaler par le sombre univers onirique de la peintre roumaine, qui fait sa première exposition en France en solo à Kokanas, galerie sur les hauteurs d’Endoume. Cătălina Milea a définitivement plongé dans la nuit, nous y charrie à sa
Pourquoi on y va ? Un court texte d'introduction (où il est question d’Afrique, de sorcellerie et de rites ancestraux), de grands et superbes tirages noir et blanc et pas de légende. Pour laisser une part de mystère, nous explique le photographe, et que chacun ait son
Hackers vaillants Comment envisager la fin du capitalisme ? C’est l’une des questions que pose le collectif Rybn.org dans son exposition Capitalismsxit. L’expo est à venir à La Compagnie, lieu de création de Belsunce qui s’est quant à lui donné pour vocation d’« esquisser des futurs insoupçonnables ». Oui,
Rebattre les cartes Au-delà de son ambition manifeste, la nouvelle exposition du Mucem, Une autre histoire du monde, se révèle tout aussi cruciale alors que les guerres font rage dans l’actualité. Par le biais de cette exposition, le visiteur se voit interpellé, invité à franchir le
Où et quand ? du 10 au 18/11 à Marseille 3013 (Marseille, 2e) Pourquoi on y va ? Pour pouvoir proposer votre meilleur (ou bien le pire) service sur un post-it. Pendant huit jours, le libre espace de la rue de la Rép’ met au menu « du troc,
Où et quand ? jusqu’à début décembre à Agent Troublant (Marseille, 6e) Pourquoi on y va ? Pour, d’une part, aller soutenir la fanzinothèque et espace d’exposition qui rencontre des difficultés financières en ce moment, et pour, d’autre part, aller admirer les peintures de Margot Soulat. À deux
Pourquoi on y va ? Pour se laisser hypnotiser par la valse sans fin des arrivées, départs, garages et empilages des conteneurs colorés, très jolis aux yeux amateurs des esthétiques industrielles… Pourtant, la boucle vidéo installée par les deux chercheur·e·s — qui sont aussi cinéastes