Comme son nom ne l’indique pas, Architecture in Helsinki nous vient d’Australie. Second album du groupe (le premier n’a pas encore été distribué en France),… (lire la suite)

Le FRAC propose Partenaire Particulier, une exposition-laboratoire où des « œuvres à spectateur unique » invitent à une expérience en solitaire, à rebours de la tendance progressive à la spectacularisation et au tout événement dans l’art… (lire la suite)

Les Gascons n’ont pas de bol. Ils auront pourtant tout essayé : distiller une délicieuse eau de vie (l’armagnac), offrir à la France le plus grand de ses Mousquetaires et les meilleurs de ses gallinacés… Rien n’y fait : quand on parle de Gascon, c’est quasi

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De retour sur leurs terres, les Cowboys sortent un cinquième album qui tombe pile-poil pour rappeler à la jeune garde, s’il était encore besoin, leur constante propension à lui faire mordre la poussière. Six cordes suffisent toujours au desperado Basly pour calmer les plus ardents, quand ses mercenaires continuent de faire parler la poudre en cadence, juste derrière lui. Car pour… (lire la suite)

Même le Financial Times, autant dire la Bible du libéralisme, se le demande : « à quoi sert la croissance si elle ne rend pas heureux ? » Cette sacro-sainte croissance, portée aux nues par l’Occident car prétendu remède à tous les maux (chômage, financement des retraites

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Entre deux concerts dans sa ville d’adoption, une résidence à la Friche et la sortie de son album, David Walters aurait pu nous dire « Awa ». Mais les qualités humaines de cet artiste accompli en ont décidé autrement, une fois encore… (lire la suite)

Dés l’introduction, Houston Swing Engine démontre qu’il maîtrise le stoner-rock, par le biais d’un instrumental de plus de quatre minutes qui n’est pas sans rappeler le suicide commercial de Karma To Burn… (lire la suite)

Recette Coscarelli du film culte. Commencez par préparer un scénario bien barré. Prenez deux mythes américains, Elvis et JFK par exemple. Equipez le premier d’un déambulateur et d’une excroissance mal placée. Teintez le second en noir et persuadez-le que Castro et Lyndon Johnson en veulent à sa peau… (lire la suite)

L’ivresse du pouvoir marque une nouvelle étape dans la collaboration entre Claude Chabrol et Isabelle Huppert, commencée en 1978 avec Violette Nozières. Pour ce cinquante-quatrième film du réalisateur français, un constat s’impose… (lire la suite)

Incontrôlable (lire la suite)

Le fil conducteur de cette compilation est la célèbre maxime du poète noir-américain Gil Scott-Heron : « The revolution will not be televised », déclinée en douze titres… (lire la suite)

S’il fallait encore une preuve de l’actuelle vitalité de la scène canadienne, le troisième album de Broken Social Scene remplirait l’office à merveille. Non content de rassembler quelques-uns des plus brillants… (lire la suite)

Voilà déjà quelques années que les membres du Dead Pop Club portent haut l’étendard d’une pop-punk, plutôt décomplexée au regard de l’intransigeance du microcosme punk dans lequel ils évoluent souvent… (lire la suite)

A la sortie de leur premier album, Side effects (produit par le magicien de Morr, Mario Thaler), Alex Brovelli et Virginie Krupa s’étaient attiré les faveurs de la presse spécialisée, trop heureuse d’avoir (enfin) trouvé un équivalent hexagonal aux rêveries…(lire la suite)

Les vacances, donc. L’occasion idéale de (re)découvrir la flopée de petites structures opérant dans le champs “Jeune public”, théâtres qui, bien souvent, ne se contentent pas de faire vibrer les minots. Progéniture ou pas, on se délectera toujours des audacieuses créations du Badaboum et de

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Après l’ovni Love Zoo de Félix Ruckert, l’Espace Culture présente, cette semaine, la biennale des jeunes créateurs côté scène. L’occasion de découvrir celles et ceux qui envisagent l’avenir de la création dans le sud de la France… (lire la suite)

Les vacances arrivées, les cultureux se trouvèrent fort ennuyés. Personne au téléphone, rues désertes, public parti skier… Seuls quelques créateurs d’Europe et de Méditerranée, ainsi qu’une poignée d’artistes, avaient choisi de rester… (lire la suite)

L’intégrale Yannick Bellon
Le village des damnés
La fille à la valise
Chut ! Chutes
The Black Torment

Gaffe : ce disque fout les jetons. Et le problème, c’est qu’on y revient irrémédiablement. Il y a quelques années, en pleine explosion punk-funk, nous avions scotché sur le premier album de ces New-Yorkais arty,… (lire la suite)

A la fois personnage d’un road movie tourné sous le soleil californien et fan ultime de la pop sombre et suicidaire des annés 80, Denis Brun dessine un autoportrait au Centre d’Art Contemporain d’Istres, où des identités opposées sont réunies dans une créativité schizophrène… (lire la suite)

Vingt ans de techno, et une bonne nouvelle : ses enfants prennent la relève. Pour l’emmener ailleurs, après des années de tâtonnements, après ce fameux réveil allemand qui mit quand même une décennie à s’extirper de sa mécanique minimale… (lire la suite)

Dans le département indépendant des mastodontes du milieu éditorial, la collection Expresso de Dupuis est, à l’instar d’autres collections de calibrage similaire (1), l’une de celles qui s’en sortent le mieux… (lire la suite)

On avait pris l’habitude, ces dernières années, de lire du Peyraud pour retrouver avec un peu de nostalgie nos histoires sentimentales. Certains albums ont été de réelles réussites (Grain de beauté, par exemple, aux éditions Treize Etrange) et d’autres simplement des BD légères et plaisantes à lire (la série Premières chaleurs chez Casterman)…

Après Johnny Cash-les disques, voici Johnny Cash-le film. Soit l’itinéraire sinueux d’une grande figure de la musique folk américaine. Avec une matière première aussi riche et un personnage aussi emblématique, le projet était prometteur. Toutefois, James Mangold réussit l’exploit de nous livrer un film plat et vide…(lire la suite)