Pour sa vingt-cinquième création, la co-directrice du Gyptis, Françoise Chatôt, propose une vision hybride et très cinématographique de Macbeth.
A la Friche, les jeunes comédiens de l’Ensemble 20 de l’ERAC s’emparent de leurs destins dans une aventure contemporaine, aux frontières du cinéma et du théâtre.
Loin des festivités de MP 2013, l’équipe des Elancées propose une quinzième édition des plus audacieuses. Coup d’œil.
Nul besoin d’artifices pour mettre un terme à une relation amoureuse. Deux comédiens, une scène et la puissance d’un texte suffisent. Avec Clôture de l’amour, le malheur d’un couple fait le bonheur du public.
Trente ans après sa première confrontation avec l’Ode maritime de Fernando Pessoa, Ivan Romeuf revient Sur le quai au Mini-Théâtre du Panier pour reprendre la mesure de l’impuissance et du désespoir humain. Récit poétique d’un naufrage intérieur.
Pôm Bouvier B & David Merlo (Reevox) > le 6 à KLAP Wall Of Death + Sun Sick > le 7 à l’Ecole d’Art et de Design United for Jamaica > le 8 au Dock des Suds John Cale > le 8 à l’Espace Julien Rebotini & Zanési
On savait qu’en 2013, il allait se passer des choses… maintenant à Montévidéo, en haut de la rue Breteuil, on saura quoi faire de ses mercredis.
Menés par la Compagnie des Rêves Urbains pour le compte d’Euroméditerranée (1), des ateliers de médiation (gratuits) permettent de s’approprier ou se réapproprier des éléments d’information sur l’histoire de Marseille et ses métamorphoses, en cours ou à venir.
La Friche inaugure deux nouveaux lieux ainsi qu’une exposition, qui mêle voyage, histoire et mémoire pour nous emmener Ici et Ailleurs, des deux côtés de la Méditerranée. Le premier rendez-vous immanquable de 2013.
Issus des archives de l’association Arts et Développement, les très beaux dessins d’enfants exposés à la Galerie des Quais au J1 nous interrogent sur la notion d’œuvre d’art.
Fraîchement arrivée sur la petite scène des galeries d’art contemporain à Marseille, Karima Celestin tente le syncrétisme entre deux visions du métier, l’une « à la parisienne » avec un certain raffinement, l’autre « à la marseillaise » en choisissant d’installer sa galerie rue Sénac.
L’exposition Partager les murs est l’occasion de revenir sur le travail remarquable des enseignants de l’Artothèque. Des passionnés qui n’ont de cesse de générer des rencontres avec l’art, rendant ainsi la culture accessible à tous.
Deux événements récents consacrés à Serge Daney sont venus à point nommé reposer la question, vitale pour le cinéma, de notre rapport à la cinéphilie. La diffusion en salles du répertoire cinématographique est un élément clé de cette réflexion, dont il est temps de faire
A Vitrolles, le Cinéma Les Lumières propose pour la quatrième année consécutive son festival Polar en Lumières, événement festif qui continue d’explorer les œuvres d’un genre majeur.
Dans la dynamique de l’édition 2012 qui se révéla être une réussite, l’équipe de Kino Fada remet le couvert sous l’égide du OFF, avec en point d’orgue, une grande soirée de projections des films réalisés aux Variétés.
A la veille du week-end d’ouverture de MP 2013, l’équipe du OFF lançait officieusement les festivités avec son Banquet de Platon. Nous sommes venus, nous avons bu, en voici un rendu.
A l’occasion des représentations d’Iphis et Iante au Gymnase, Jean-Pierre Vincent s’est prêté au jeu de l’interview. Rencontre avec un metteur en scène aussi volubile que spirituel.
Fondateur de la très avant-gardiste compagnie Archaos et du CREAC (Centre européen de Recherche des Arts du Cirque), Guy Carrara revêt une nouvelle casquette en créant pour l’année « Capitale » un nouveau festival, Cirque en Corps. Une manifestation qui devrait — chose rare —
On a connu Arnaud Saury en fantasque Monsieur Loyal des créations de Christophe Haleb. Depuis, il a poursuivi sa route, seul — et un peu moins seul aussi, puisqu’on le retrouve aujourd’hui accompagné de deux comparses de la belle époque : le musicien Alexandre Maillard
En ouverture de Cirques en Capitales, vingt UtoPistes — deux musiciens et dix-huit acrobates — vont nous emmener au fil de leurs acrobaties du Vieux Port aux fauteuils de La Criée.
Angelin Preljocaj est un habitué du croisement des genres. Après Pascal Quignard (L’Anoure) et Jean Genet (Le Funambule), il s’attaque une nouvelle fois à une œuvre littéraire avec Ce que j’appelle oubli de Laurent Mauvignier. Avec force.
Sous la houlette de Xavier Douroux, ancien directeur artistique de la Fondation Vasarely (grande laissée pour compte de 2013), et Anne Pontégnie, commissaire émérite, onze stars internationales disséminent leurs œuvres dans Aix-en-Provence, histoire de remettre L’Art à l’endroit.
En attendant son ouverture prévue en mars, le FRAC PACA lance d’ores et déjà son projet Ulysses, un itinéraire d’art contemporain regroupant une centaine d’artistes à travers tout le territoire Marseille Provence 2013. Soit la plus grande et la plus pertinente exposition collective d’art contemporain
En ouverture de son cycle d’expositions intitulé « Le Mauvais Œil sur 2013 », le Dernier Cri invite le Tampographe Sardon dans son atelier de la Friche La Belle de Mai. Une belle (contre)façon pour ce collectif d’auteurs d’attaquer sa vingtième année.
Loin des festivités associées à 2013, Bernard Plasse continue de montrer de l’art contemporain et de soutenir les artistes. Sans aucune concession aux modes et aux tendances, la Galerie du Tableau, qui accueille cette quinzaine Franck Lesbros, demeure ainsi pour les artistes marseillais un havre
De février à septembre 2013, les principales salles du territoire Marseille Provence accueillent une palette de cinéastes de premier plan. Une manifestation unique dans le cadre de Marseille Provence 2013, pilotée par la structure phocéenne Tilt, secondée par une poignée de partenaires engagés.
Hors de ses frontières, La Criée continue son exploration dans le champ cinématographique et propose une journée sur le thème des rapports entre psychanalyse et cinéma, avec la projection de trois œuvres majeures.
L’actualité s’annonce chargée en 2013 pour la compagnie Parnas, qui démarre l’année en s’attaquant au Sallinger de Koltès. Rencontre avec la directrice de la troupe.
Les enfants perçoivent la ville différemment des adultes. Comment retranscrire sur scène cet imaginaire des petits ? Avec A Corps Perdu, la compagnie Lalage joue la carte de l’abstraction.
Avec une saison automne/hiver dense en danse et riche en collaborations, le Théâtre des Bernardines manifeste son attachement à la place du corps dans la création dramaturgique contemporaine.