Journal d’inquiétude & Thierry Baë a disparu > De et par Thierry Baë / Cie Traits de ciel

Cocinando con Elvis > De Lee Hall par la Cie Un mundo Teatro

Madame Marguerite > De Roberto Athayde avec Henriette Palazzi

Jack’O Lantern > Par la Cie Kino-Loco

Pour tout bagage : Petit Gris > Par la Cie Créature d’après Elzbieta

Il était attendu comme le loup blanc. Et il n’a pas raté son rendez-vous avec la cité phocéenne… Non, nous ne parlons pas de Fabien Barthez. Les exploits dominicaux du portier nantais ayant mis à mal une partie de la rédaction, nous ne reviendrons pas sur l’humiliation qu’il a infligée à une équipe de l’OM quelque peu essoufflée.

On l’a peut-être déjà dit dans ces pages, mais après tout, comme dirait ma mère (ou Henri Seard, je sais plus, bref), faut pas rechigner sur le rabâchage, ça donne de la contenance : faire un film politique ne consiste… (lire la suite)

Le cinéma, ce n’est que de l’image et du temps ; la vie d’un photographe également. Ce rapprochement pourrait amener — c’est souvent le cas — à raconter un artiste par un roman filmé : l’histoire de sa vie, son travail et son caractère, le tout appuyé par des interviews. Heureusement pour nous, By the ways est le contraire… (lire la suite)

Dierdre > le 15 au Balthazar
Antiquarks > les 15, 16 et 17 à l’Exodus
Ceux Qui Marchent Debout > le 16 au Cabaret Aléatoire
Thomas Mery > le 16 à la Machine à Coudre
Violett + The Cognacq Jays > les 16 et 17 à l’Intermédiaire

Carte Blanche > à la Cie Eclats de Scènes
Elisaviéta Bam > par la Cie Les endimanchés
Music Hall > par la Cie Théâtre Provisoire
Pourquoi j’ai mangé mon père > par la Cie Théâtre de l’Aiguillon
Les Elancées, Festival des arts du geste

Les paroles s’envolent, les écrits restent. Alors nous allons profiter de ce numéro un peu spécial pour clarifier quelques points. Spécial ? Vous aurez sans doute remarqué, pour l’avoir ouvert une cent-soixante et dix-neuvième fois en cinq saisons et des poussières (hypothèse haute) ou soupesé… (lire la suite)

Le dernier missile littéraire de Virginie Despentes s’adresse à « toutes les exclues du marché de la bonne meuf ». Le ton est donné. Incisive, tranchante, électrique, Virginie Despentes règle ses comptes à (grands) coups de poing. Le viol — subi à 17 ans —, la prostitution occasionnelle, la perte d’équilibre, l’auteur de Baise-moi se sert.. (lire la suite)

Quand le scénariste de Sur mes lèvres et De battre mon coeur s’est arrêté fait de la BD, c’est plutôt relax et loin des ambiances des films de Jacques Audiard. En s’associant avec Barral (dont le trait rappelle allègrement celui de Gotlib), il nous livre un ouvrage fort plaisant à lire et drôle. Dieu, que l’on… (lire la suite)

L’univers visuel des frères Quay nous renvoie aux facettes les plus inquiétantes de nos contes enfantins, distillant une atmosphère souvent étouffante et chargée. Sans doute par l’utilisation d’objets concassés… (lire la suite)

Malgré quelques loupés (Bad Santa, pochade gentiment trash assez ratée), Terry Zwigoff est un réalisateur américain pertinent, à qui l’on doit deux grands films : le savoureux documentaire sur Crumb, et la très belle adaptation… (lire la suite)

Ce chef-d’œuvre d’Harmony Korine voit enfin le jour en DVD. Le réalisateur américain de Gummo, dont ce film en est en quelque sorte l’écho, le pendant, continue à s’attacher à des personnages hors normes, désaxés… (lire la suite)

Alors que commence bientôt la nouvelle édition du festival Germanofilms, consacré au cinéma teuton, arrêtons-nous sur ce film d’Anno Saul, qui porte à l’écran une histoire écrite par Fatih Akin, réalisateur… (lir la suite)

Pur moment de Z, ce Blood Feast bat des records de crétinerie. Fuad Ramsès, l’épicier oriental d’un quartier chic de Miami, se transforme en tueur de vierges fou dès la nuit tombée, tout en adorant… (lire la suite)

Pour qui la musique de Bloc Party s’apparentait à un coït urgent et débraillé, limite éjaculation précoce, il va falloir revoir ses habitudes sexuelles ou se passer du second opus du quatuor de Londres. Moins évident… (lire la suite)

Autant clarifier les choses : la rédaction de Ventilo aime TTC. Comme tout le monde. Elle avait applaudi l’iconoclaste premier jet sur Ninja Tune, et littéralement craqué sur le second, qui conciliait, sur une major… (lire la suite)

Connue pour ses collaborations avec Zenzile, cette jeune Américaine installée à Londres nous livre son premier album solo. Loin des fumantes échappées dub de ses débuts, Jamika nous surprend par sa maturité et son éclectisme. Soul, hip-hop, blues, afro… (lire la suite)

Des origines irlandaises, une voix cristalline, un piano dégoulinant de gammes romantiques, des cordes survoltées et des mélodies à tomber par terre ! Neil Hannon, dont il ne s’agit pas ici, a eu le nez creux en nous recommandant… (lire la suite)

En 2007, les « professionnels » n’en peuvent plus, chaque chapelle attendant le Messie qui lui apportera amour, gloire, putes et coco. Pendant ce temps… (lire la suite)

La musique classique est-elle soluble dans les quartiers populaires ? A l’occasion d’une résidence de l’Orchestre Régional de Cannes, la semaine dernière dans les quartiers nord, notre journaliste a tenté d’y voir plus clair.. (lire la suite)

Un an après la visite d’Afrika Bambaataa, Marseille fête une nouvelle fois l’ancienne école hip-hop avec un concert unique en France de la légende Kurtis Blow… (lire la suite)

Blurt > le 8 à Montévidéo
Leeroy > le 8 au Café Julien
Antiquarks > les 8, 9 et 10 à l’Exodus
Grosso Gadgetto > le 9 à l’Embobineuse
Ministère des Affaires Populaires > le 10 au Dock des Suds

Les Anglais ont toujours été des gens de goût. Musicalement, cela se vérifie depuis les années 60, décade au cours de laquelle ils ont incarné la montée de la pop-culture, avant de donner naissance à une flopée de courants essentiels qui aboutiront, deux décennies plus tard… (lire la suite)

Extérieur Nuit nous offre l’une des plus belles rétrospectives de cette rentrée, autour du plus grand des réalisateurs allemands exilés aux USA, Fritz Lang. Une superbe manifestation qui nous propose, durant presque deux mois, de revenir sur le parcours de ce génie de l’image… (lire la suite)

Chez David Lynch, depuis vingt ans et l’ensablement Dune, les personnages vont par deux, question d’arithmétique. A chacun sa chacune, son double, sa moitié ou son pendant. Le héros lynchien se multiplie ou se divise, question de (sur)vie(s) ou de mort… (lire la suite)

« Sublime, superbe, un grand film », disait un monsieur qui sortait de la salle, confirmant les prix et la critique univoques à une amie hésitante. « C’est grâce à des gars comme ça que le mur est tombé, c’est eux qui ont fait chuter le système ! » commentait un autre qui débattait sur le parvis… (lire la suite)

Evan Horne est détective/Pianiste de Jazz. Son ami, le professeur Ace Buffington, projette d’écrire une biographie de Chet Baker et part à Amsterdam enquêter sur la mort de l’ange trompettiste, retrouvé gisant sur le trottoir, au bas de sa chambre.. (lire la suite)

Loft réussit un tour de force esthétique qui suffit à plonger le spectateur dans un effet de sidération instantané. Voilà un film de fantômes débarrassé de ses oripeaux et uniquement préoccupé par son objet : La peur. Le film d’horreur parfait, en somme, puisque son sujet même… (lire la suite)

Maguy Marin s’affirme une fois de plus comme une chorégraphe exigeante et brillante avec Umvelt, une « chorégraphie-performance » ; long moment de réflexion intense et provocant sur notre vie quotidienne… (lire la suite)

Encore la Fontaine en Zik-Zag d’après La Fontaine et James Finn Garner par la Cie Débrid’Arts Production
La voix souterraine d’après Fédor Dostoïevski par la Cie Soleil Vert
La traversée de et par Marianne Fontaine (Cie Avril 65)
Les athlètes dans leur tête de Paul Fournel par André Dussollier
Matri(k)is par la Cie La Baraka