Gilles Peterson – In the house (Defected/Discograph) Robert Owens – Night-time stories (Compost/Nocturne)
L’homme invisible : le figurant Figurez-vous que d’après les dictionnaires spécialisés, « le figurant fait partie de la figuration. » Oh génie ! Oh surprise ! La logique ne nous était que trop rarement apparue aussi évidente… Toutefois, à s’y pencher d’un peu plus […]
L’arrivée des fêtes de fin d’année est souvent l’occasion pour les marchands du temple d’un vol en règle qui consiste à noyer les stands des Fnac et consort de piles de coffrets tous aussi inintéressants les uns que les autres. Ou comment profiter de ce […]
A la fin des années 50 naquit en Angleterre l’un des plus beaux mouvements cinématographiques, épris d’une liberté folle, précurseur d’un réalisme social qui allait inspirer nombres d’artistes jusqu’à nos jours. Ils avaient pour noms Lindsay Anderson, Karel Reisz, Tony Richardson ou Lorenza Mazetti, et […]
Au final, deux solutions s’imposent face aux interviews mainstream des cinéastes souvent formatés pour le petit écran : deux longues heures d’entretien façon Labarthe ou les Cinématons de Gérard Courant. Le principe : des rencontres de trois minutes et demie montre en main, un plan-séquence, […]
<p>Entrons directement dans le vif du sujet : <em>Control</em> n’est pas une déception, c’est juste un biopic comme un autre. Tenter de retracer « fidèlement » la succession des faits marquants de la vie d’un artiste...</p>
<p>Puisque l’été n’a pas été chaud, dans les tee-shirts, dans les maillots, d’la Côte d’Azur à Saint-Malo, la rédaction de <em>Ventilo</em> a passé trois mois enfermée dans des salles obscures réfrigérées pour ses fidèles lecteurs et parce qu’elle n’avait rien de mieux à faire, aussi...</p>
<p>Vous ne l'ignorez pas : la grande fête du cinéma bat son plein, un peu plus à l'est de Marseille. On pourrait les entendre d'ici, des crépitements des appareils aux hurlements de fans transis...</p>
<p>Plutôt que de vous en chroniquer un énième, nous avons préféré cette semaine nous attacher aux mots en commençant par un incontournable du langage cinématographique : le « navet ».</p>
<p>Les années 80 furent une époque de transition dans l'histoire cinématographique anglaise. Les grands noms de la fin des années 60 étaient déjà oubliés, exit également la fulgurance de l'excellent...</p>
<p>En 1962, un jeune réalisateur italien sort un film prodigieux, résolument moderne : <em>Les fiancés</em>. Une histoire d'amour simple, brute, épurée, qui, plus de quarante ans après, résonne avec la même intensité...</p>
<p>JLG ne s’est jamais vraiment remis de <em>Sauve qui peut (la vie)</em>. En approchant l’univers de la vidéo, Godard a profondément modifié son axe cinématographique, pour atteindre son apogée dans...</p>
<p>Pauvres petits enfants riches ! Qu’il est dur d’habiter en Californie dans de somptueuses villas : on est obligé de prendre des drogues, de noyer son chagrin dans l’alcool et « d’avoir du sexe » pour remplir tout le...</p>
<p>Une fois n’est pas coutume, radotons. Il n’y a pas de néo-polar français et, d’ailleurs, il n’y en a jamais eu. Si l’éphémère brillance de quelques cinéastes a pu susciter un espoir sincère... (lire la suite)</p>
<p>Quand la cellule familiale devient une prison, la raison du plus fort l’emporte. Cette plate affirmation pourrait résumer à elle seule le dernier film de Joachim Lafosse, dont on doit avant tout louer la pertinence du casting... (lire la suite)</p>
<p>Le vagabondage du Merlan s’étirait le temps d’un week-end au théâtre du Gymnase. Sept strip-teases chorégraphiés pour six femmes et un homme avec en tête d’affiche, Caterina Sagna, Wim Vandekeybus et Alain Platel... (lire la suite)</p>
<p>A l’occasion de la sortie du dernier film de David Lynch, l’association Panopticum nous propose de redécouvrir les premiers courts-métrages du maître californien... (lire la suite)</p>
<p>Il serait profondément injuste que <em>Le Front Chantilly</em> passe inaperçu, simplement parce qu’il a eu la malchance de sortir en même temps que le phénomène de la rentrée. Comme dans <em>Les Bienveillantes</em> justement, le héros-narrateur... (lire la suite)</p>
<p>Quand Delmas est rattaché à un projet artistique, on peut s’attendre à ce que ledit projet s’avère « hors normes ». <em>Gunman</em> ne déroge pas à la règle. Volontairement ancré dans un graphisme rappelant la grande période des.. (lire la suite)</p>
<p>Pour la troisième édition de Laterna Magica, la meilleure à ce jour, l’association Fotokino barbouille les écrans marseillais à grand renfort de films d’animation triés sur le volet... (lire la suite)</p>
<p>A défaut d’être un bon film ou même un film intéressant, <em>Perhaps Love</em> constitue un événement capital dans l’histoire du cinéma contemporain. Involontairement, Peter Ho-Sun Chan... (lire la suite)</p>
<p>L'un des grands maîtres de l'animation SF est français et se nomme René Laloux. Ce grand dessinateur-réalisateur (également peintre et marionnettiste), décédé voilà deux ans, a su mettre... (lire la suite)</p>
<p>Du cinéma australien, on ne retire finalement pas grand-chose. Quelques succès, les <em>Mad Max</em>, et une pléiade de sous-productions hollywoodiennes. L’œuvre de Peter Weir... (lire la suite)</p>
<p>Comme la musique, l’industrie du cinéma a compris qu’on pouvait ressortir les œuvres de jeunesse d’auteurs devenus au fil des ans incontournables. Pendant longtemps... (lire la suite)</p>
<p>On le sait, l’été est devenu une période privilégiée pour les sorties cinématographiques, lorsqu’il y a dix années encore, la saison n’était dans la profession synonyme que de désertification des salles. L’élévation des températures et, inversement proportionnelle, la chute tarifaire des clims offrent encore de beaux jours aux sorties estivales en salles réfrigérées… (lire la suite)</p>