Expérimental. A raison d’un calendrier de sorties de vinyles plutôt décousu, Jean-Marc Montera se paye ici le luxe, en duo avec la violoniste Fanny Pacoud, d’un coffret concrétisant la rencontre entre le duo et treize peintres marseillais. Non seulement fort d’un graphisme épuré, le bel

Jazz. Figure de proue de la nouvelle génération du piano jazz, Yaron Herman joue du marteau sans complexes et frappe des deux mains sur tout ce qui bouge. Musiques improvisées, pop, classique, le clavier du jeune Israélien aime les couleurs et l’éclectisme, au risque parfois

Electro. Si elle joue habilement avec les codes de la dance music 2.0, la jeune Estonienne reste maladroite comme une adolescente qui s’improvise pin-up le temps d’un shooting. Mais force est de constater : de ses maladresses naît tout le charme de sa musique. Beaucoup trop

Pop. Il n’est pas si courant de voir un musicien passer d’un courant à un autre en parvenant à conserver le même degré d’excellence. A l’origine, Matthew Dear est l’un des meilleurs producteurs techno en activité (notamment sous son alias Audion). Passionné par le travail

Pop. Quand on est fan d’un artiste, on a souvent du mal à avouer que son dernier album est moins bon, que la magie n’opère plus. Confronté au dernier Jens Lekman, dont j’ai tant vanté l’élégance dans ces pages, le cas est différent. Même si

Hardcore. Un premier album marquant avait attiré notre attention sur ce groupe de hardcore marseillais prometteur, leur valant des Short Cuts à chaque concert dans les environs. C’est peu dire que cet EP était attendu. Nous ne sommes déçus ni par le fond – six titres

Chanson. Autant l’avouer : nous étions plutôt circonspects lors de la sortie cet album. En effet, Lou Doillon souffrait dès le départ du double handicap d’être une « fille de » et de prolonger la lignée des « actrices qui chantent ». Comme par magie, la première écoute dissipe tous

Folk/hip-hop. Portant Why? dans notre cœur depuis le premier album de cLOUDDEAD, qui dessinait alors les prémices d’un nouveau hip-hop porté par l’étendard californien Anticon, la rédaction attend chacun de ses opus avec impatience. Nous retiendrons deux façons d’aborder ce nouveau Mumps, etc., parfait pour

POP. Eté 66 : les Beach Boys sortent Pet Sounds, considéré depuis comme le plus grand disque pop de l’Histoire. Dans la folle course qui oppose Brian Wilson aux Beatles, le premier entreprend de composer Smile, une « symphonie adolescente adressée à Dieu » qui

POP. Comme les choses sont ironiques, parfois. Quelques semaines avant que les Beach Boys ne publient un énième LP (chroniqué dans ce numéro), les Irlandais de HAL mettaient également fin à sept longues années de silence, après un premier disque éponyme d'un grand classicisme –