La compagnie Coline forme les jeunes danseurs au contemporain en associant la création et le travail du répertoire avec des chorégraphes invités. Leur récent passage au studio Kelemenis, pour clôturer et fêter un cursus de deux ans, nous donne l’occasion de revenir sur la qualité et la densité de cette formation.

Pour sa neuvième édition à Aubagne, le festival Hip-Hop Action a eu la très bonne idée d’inviter l’inégalable KRS-ONE. Incontournable ! (lire la suite)

Avec Almodovar, les films se succèdent mais les obsessions demeurent. On lui avait reproché lors de son précédent film, La mauvaise éducation, de délaisser son sujet de prédilection — la femme —… (lire la suite)

Ce qui est étrange, et finalement assez amusant, avec Duelist, c’est qu’une fois passée la première bobine du film, le critique, déjà éreinté par tant d’afféteries à la mode, espère très sincèrement que tout cela se termine vite, par respect pour ses yeux… (lire la suite)

Le dernier film de Nanni Moretti recèle bien plus de beauté que sa promotion sulfureuse ne le laissait présager. Il serait pourtant aisé de se tromper de sujet, de fustiger le manque de clarté du propos ou de feindre l’incompréhension… (lire la suite)

Ils sont treize, assis autour de la scène, là pour nous dire et jouer leur vie, leur quartier, leur rue, entre quelques éclats de rire, un sourire qui laisser échapper le trac… Avec Habiter là, la compagnie de la Cité invite la rue et ses habitants au théâtre… (lire la suite)

L’occasion était trop belle. Depuis le temps qu’on chronique les sorties DFA dans ces pages, sans jamais avoir l’occasion de voir débouler à Marseille – dans un club ou une salle de concerts – l’un des sociétaires de la maison new-yorkaise, on n’allait pas zapper… (lire la suite)

Le Prix Albert Londres
la Nuit des Musées
Land Art
Vélo Ecole

Moins fulgurant que ses compatriotes de Ghinzu, ce groupe belge semble pourtant posséder suffisamment d’arguments pour séduire un public rock grandissant. L’orchestration souvent minimale, comme sur Here & now qui introduit le disque… (lire la suite)

Où il sera question de Bertrand Burgalat : l’ombre tutélaire du grand manitou de la pop rétro plane en effet sur ces deux sorties, tout aussi délicieuses l’une que l’autre… (lire la suite)

Le hip-hop n’est jamais aussi riche que lorsqu’il puise son inspiration ailleurs qu’en lui-même. Ici, le rythme se fait minimal, le son purement synthétique, et le traitement presque primaire de l’ensemble… (lire la suite)

Au cours des derniers siècles, une partie conséquente de la population mondiale s’est affranchie d’une préoccupation qui, depuis quelques millions d’années, n’avait rien d’une mode : survivre. Les inconvénients de cette économie originelle étaient… (lire la suite)

Fantastique pilote de course, secondé par son fidèle manager, Michel Swing s’apprête à remporter son huitième titre de champion du monde lorsque débarque l’agent Bright du F.B.I., chargé de veiller sur lui … (lire la suite)

Que dire de Sfar sinon que tout ce qu’il fait ces derniers temps est complètement balourd (1) ? Ce coup-ci, on a droit à Pot de Miel et Grand Nez (ça donne le ton) qui partent à la chasse pour ramener de la viande parce que leurs femmes en ont ras-le-bol de manger du poisson… (lire la suite)

Au cœur de Soweto, l’inspecteur Zondi est confronté à de désagréables découvertes hebdomadaires : des cadavres mutilés et défigurés façon sacrifices vaudous. Ce policier noir connaît bien son pays et ses fantômes… (lire la suite)

Ce nouveau recueil de nouvelles de Kressmann Taylor explore les aspirations, les faiblesses et les regrets de femmes. Avec cette sensibilité qui lui est propre… (lire la suite)

Joëlle Léandre > le 17 à Montévidéo
Silverio Pessoa > le 18 au Balthazar
Mansfield.TYA + Talithaa > le 18 au Poste à Galène
Rosa > le 19 à la Meson
Lesbians On Ecstasy > le 20 à l’Embobineuse

Le réalisateur de Breaking News s’est imposé comme l’un des maîtres hong-kongais du polar chorégraphié. Usant fréquemment de tournures scénaristiques construites sur la dualité (dans Fulltime Killer, mais également avec The Longuest Nite côté production)… (lire la suite)

Il est rare de voir des concerts qui ne nous en rappellent aucun autre. Ce DVD retranscrit parfaitement cette sensation de nouveauté lorsqu’on découvre Nosfell sur scène, seulement accompagné par Pierre Le Bourgeois au violoncelle… (lire la suite)

A chaque décennie ses réalisateurs marginaux, trop malins pour parader sous les feux de la rampe, laissant aux hommes sans imagination le soin de tels honneurs. Les années 80 ont elles aussi leurs cinéastes oubliés, FJ Ossang, Jacques Richard, Patrick Grandperret… (lire la suite)

Assurément Martin est un film qui tranche avec la filmographie « zombiesque » de George A. Romero… (lire la suite)

Au FRAC, une programmation vidéo en trois volets nous fait voyager dans les nouvelles formes de la performance… (lire la suite)

Le moins que l’on puisse dire à propos de A Bittersweet life, c’est que son auteur, Kim Jee-woon, est un cinéaste élégant… (lire la suite)

Réalisateur, acteur principal et scénariste, Aksel Hennie cumule les fonctions pour son premier long-métrage. Uno traite du passage d’un monde à un autre… (lire la suite)

Après quelques errements (Traffic, Ocean’s Twelve), quelques égarements (Erin Brockovich, Ocean’s Eleven), un non-film (Full Frontal) et un chef-d’œuvre (Solaris), Steven Soderbergh… (lire la suite)

Auteur qui s’abîme dans une lourde lucidité, dramaturge radical encore fidèle à un idéal d’« homme bon », dépositaire d’une violence silencieuse, crasseuse et galeuse, minimaliste sans remord, Lars Norén protège opiniâtrement ce que le théâtre a de plus précieux, l’espace et la descente des mots… L’enfer… (lire la suite)

Depuis une dizaine d’années, les Yes Men envoient régulièrement des pavés dans la mare politico-économique internationale, éclaboussant les responsables du bordel planétaire de la plus drôle des manières : en se foutant de leur gueule.

Pourquoi apprendre ? Comment trouver sa voie ? Autour des questions d’identité qui traversent l’adolescence, François Cervantes a composé un texte sensible et nuancé, que la Compagnie L’Entreprise présente dans le lieu le plus indiqué pour les aborder : directement dans les salles de classe… (lire la suite)

Elle, c’est la femme qui a aimé, c’est la voix écrite par Serge Valetti dans Just Hamlet, incarnée par Jezabel d’Alexis, mise en scène par Jean-Marc Fillet, jouée au théâtre de Lenche, celle qui nous attend… (lire la suite)