<p>Si le cinéma américain tire la gueule, c’est aussi à cause des séries : depuis une quinzaine d’années, elles font la pluie et le beau temps en matière de création audiovisuelle, tant au niveau commercial qu’artistiquement parlant. Modeste tentative d’analyse d’un phénomène auquel <em>Ventilo</em> a totalement succombé.</p>