Qui se serait posé la question de la disparition des arts vivants avant le Covid et les confinements ? Nacim Battou ! En 2018, le chorégraphe commence son projet Dividus qu’il imagine, à cet instant, d’anticipation, une fiction qui s’avère au cœur de l’actualité. Il nous place
Pas de côté Si en juillet, Avignon est considéré comme « le plus grand théâtre du monde », l’art chorégraphique s’y taille une part de plus en plus importante. Et le CDCN Les Hivernales, où On (y) danse aussi l’été dans le cadre du Off, n’y est sans
Qui se serait posé la question de la disparition des arts vivants avant la pandémie et les confinements ? Nacim Battou ! En 2018, le chorégraphe commence son projet Dividus qu’il imagine, à cet instant, d’anticipation, une fiction qui s’avère au cœur de l’actualité. Il nous place
Liberté des corps, expressivité du geste, catharsis par l’art : autant de thèmes particulièrement sensibles en ces temps distanciés. Plaisir des corps, du toucher, ode au mouvement, la Scène nationale de Toulon nous inonde de ce que la région fait de meilleur en danse. En tout,
À corps multiples Les festivals de danse se succèdent et le paysage modelé par les vents que soufflent les institutionnels de la culture ne se ressemble pas. Et pourtant, dans la plaine avignonnaise, tel un Gaulois qui résiste aux saisons, Les Hivernales s’apprêtent à célébrer leur
Des mots d’humains Sur un plateau nu, cinq danseurs-acrobates hétéroclites et étonnants se livrent. Avec Des gens qui dansent, Mathieu Desseigne-Ravel s’interroge avec brio sur le passage entre les solos de la vie et le « faire ensemble », mais également sur ce qui fait corps avec la parole.
Vingt-deux ans déjà que l’Association de Promotion de l’Espace Culurel Busserine inaugure la collection chorégraphique Printemps/Eté avec ce temps fort, consacré depuis une dizaine d’années aux danses urbaines. Avec trois rendez-vous étalés sur un mois au Merlan, le Printemps de la Danse offre l’occasion de