La Croûte : livraison d'artistes à domicile
Avec la Croûte, l’association Blaze propose une nouvelle façon de promouvoir les artistes basée sur le système de distribution de pizzas. Explications.
Avec la Croûte, l’association Blaze propose une nouvelle façon de promouvoir les artistes basée sur le système de distribution de pizzas. Explications.
Les trois tables rondes organisées dans le cadre des Rencontres d’Averroès ont fait salle comble le week-end dernier au Parc Chanot. Au programme, trois thèmes pour une question : « Dictature, transparence et démocratie. La cité en danger ? »
L’étude des jours Quelques années après une très belle exposition au [mac], où elle assumait postures provocantes et images provocatrices, on retrouve Michèle Sylvander à la GalerieofMarseille, défiant toujours les préjugés mais avec une douceur qu’on ne lui connaissait pas… « Ô toison, moutonnant jusque […]
Pour leur sixième édition, les Rencontres Internationales Sciences et Cinéma investissent plusieurs lieux marseillais pour une plongée passionnante aux frontières de deux disciplines historiquement liées.
Rebelote : après la très belle manifestation organisée ce mois-ci par Extérieur Nuit autour de Serge Daney, l’équipe de la jeune association Dfilms propose de prolonger notre plaisir cinéphilique sous le parrainage posthume du co-créateur de la revue Trafic.
Mercredi 7 novembre : la France se réveille en apprenant la victoire de Barack Obama aux élections présidentielles américaines. Le sourire aux lèvres : le sexy, le cool Barack l’a emporté sur un mormon rétrograde (pléonasme), millionnaire un peu bébête
Avec Les Larmes rentrées, Laurent de Richemond s’attaque, malgré son nom à particule, à la bourgeoisie… de nos comportements. En véritable aristocrate romantique du verbe, il utilise les mots de Fritz Zorn et son cancer pour gifler la bienséance sociale.
Avec Ça ira vieux demain, la compagnie L’Agonie du Palmier livre un émouvant spectacle de marionnettes sur la fin de vie.
A l’heure où de grandes petites révolutions esthétiques s’amorcent tous les jours sur la toile, on a voulu tout savoir sur le duo marseillais Ideal Corpus, juste parce que le futur leur appartient.
Manque de chance, de subventions et de public, les compteurs de l’association Kuzca, à l’origine de l’éco-festival de La Roquebrussanne, sont dans le rouge. De nombreux artistes, et le Dock des Suds, se mobilisent le temps d’une soirée pour soutenir cette structure qui milite pour les cultures natives et alternatives.
Accrochez-vous ! A la Compagnie, Laurent Fiévet prend de la hauteur avec une installation vidéo sur un thème des plus étonnants : la balançoire.
Art-Cade accueille aux Bains Douches l’exposition Shuffling Cards, labellisée MP 2013. Un travail tourné vers l’Afrique, au-delà des stéréotypes, qui met en avant la question de la transmission des savoirs et de la mémoire.
Pari audacieux que de proposer une exposition intitulée Calme en plein cœur des Galeries Lafayette. Du fameux triptyque baudelairien, le calme est sans doute l’un des plus difficiles à représenter. Comment le pense-t-on ? Comme l’attente, l’ennui, la mort ? A l’initiative des galeries du réseau Marseille Expos, quinze artistes répondent chacun à leur manière.
Autour de projections, colloques, rencontres et lectures, Extérieur Nuit démêle l’héritage encore insoupçonné de Serge Daney dans l’évolution d’une cinéphilie qui n’a de cesse d’évoluer, frôlant parfois l’impasse.
Dans des temps immémoriaux, les Dieux du rock se sont réunis pour élire leurs apôtres. Lee Hazlewood et Nick Cave en étaient. David Eugène Edwards aussi. Après avoir délivré la bonne parole au sein des saints 16 Horsepower
Louis Delluc disait de lui qu’il avait « l’âme d’un gavroche et la silhouette d’un prince ». Il était bien temps que le grand public puisse à loisir découvrir le talent hors normes de cet acteur-réalisateur qui, il y a un siècle
Pour toutes celles et ceux qui n’ont pas pu profiter du festival Actoral, les Bancs Publics proposent une séance de rattrapage avec les Rencontres à l’Echelle : un mariage euphorisant des différentes approches de la scène.
Force est de constater : le spectacle jeune — voire très jeune — public se porte bien. Les propositions affluent et cette scène active semble maîtriser les enjeux sociaux qui lui sont attribués : rassembler, écouter, voir, sentir, partager, s’émerveiller… Dans ce domaine, le Théâtre Massalia a su se rendre indispensable grâce à une programmation exigeante et variée. En témoigne la compagnie Jardins Insolites qui présente C’est dans la poche, pour un public badaud, à partir de dix-huit mois.
A l’heure de célébrer leurs cent ans, les Marionnettes de Salzbourg prouvent que le temps ne semble avoir aucune emprise sur elles.
Faut-il encore le présenter ? Dupain, Gacha Empega, et plus récemment Forabandit... ces noms vous parlent sûrement. C’est d’ailleurs en tombant sur le récent album de ce dernier, trio à mi-chemin entre la culture des troubadours et celles des a?ik (l’équivalent anatolien), que nous est venue l’idée de rencontrer Sam. A vrai dire, s’il nous était possible de le faire, nous lui donnerions la parole dans chaque numéro. Explications.
Encore jeune (à peine un demi-siècle l’année prochaine), l’art vidéo ne cesse de se renouveler et offre, grâce aux Instants Vidéo, une programmation toujours plus riche et pleine de talents. Rencontre avec Marc Mercier, cofondateur de cette manifestation atypique et poétique, qui souffle cette année ses vingt-cinq bougies.
Ça fait un bail que Iraka fait du rap. Déjà, à la fin des 90’s, depuis Bordeaux, on entendait tourner ses rimes tranchantes sur des compilations. C’était hier, le temps a passé et les rencontres qui vont avec
Aussi sûr que le présent dessine le futur, le festival RIAM se fait le reflet de son époque. C’est l’évidence : si nous vivons actuellement une période de flottement à l’échelle sociétale, la création artistique n’en demeure pas moins fascinante. En témoigne cette neuvième édition montée par deux activistes qui, on le souhaite de tout cœur, continueront longtemps de nous faire partager leurs points de vues.
Comme les feuilles mortes de la chanson de Prévert, à chaque automne, la Fiesta des Suds nous rappelle à son souvenir. Véritable été indien ponctuant la vie des Marseillais depuis 1992, elle voit se succéder les générations. Simple habitude ou plaisir intact ?
Si les médias actuels, jusque dans leur forme artistique, participent de l’aliénation généralisée, il est heureusement des projets à même de sublimer nos conditions de réception des œuvres. Le festival multidisciplinaire Les Emouvantes en fait partie. On a voulu laisser la parole à Claude Tchamitchian, l’immense contrebassiste fondateur et directeur artistique de la maison de disques organisatrice : Emouvance
A l’initiative des rencontres Place Publique, journalistes, chercheurs, professeurs et écrivains décortiquent pendant une semaine sous le prisme de la philosophie ce qui fait notre quotidien : la culture pop.
Cet automne, la Vieille Charité et le Musée Granet s’associent pour présenter plus de 350 images, en majorité inédites, réalisées par Bernard Plossu lors de ses déambulations à Marseille et ses randonnées à la Sainte-Victoire.
Un voyage dans le temps s’opère à la galerie du Château de Servières, qui accueille l’exposition Euroméditerranée 2002–2009. On peut y voir ce qui n’est déjà plus, se rendre compte des paysages récemment disparus, et constater que l’art remplit ici son devoir de mémoire…
Pour sa seconde édition, le festival La Photographie Maison Blanche s’étoffe, tant sur la durée que dans sa programmation, se plaçant d’ores et déjà comme un événement-phare de la photographie contemporaine.
Articulé en trois parcours à travers la ville, Phot’Aix met cette année le cap sur Cuba avec des Regards Croisés faisant la part belle à la jeune garde de la photographie contemporaine.