Après une pause bien méritée et visiblement profitable, The Psychotic Monks reviennent cette année avec un nouvel album, le très attendu Pink Colour Surgery. Virage radical et abrasif qui voit le quatuor faire son offre la plus froide, étrange et labyrinthique à ce jour :
Géode Trouvetou Propagations, du 5 au 15 mai, c’est la deuxième édition du nouveau festival du GMEM, aux ambitions d’expérimentations musicales mais pas que, avec sons exigeants, visuels déconcertants, temps denses et temps danse, loin pourtant des tendances populaires. Il s’agit pour Propagations de faire résonner plus
Concert mythique en perspective à l’Embobineuse avec la venue de la sulfureuse Lydia Lunch, guerrière mutante de la no wave des années 1980 à New York et incarnation d’un féminisme puissant et sans remord. Après nombre d’illustres collaborations avec notamment Brian Eno, Marc Almond, Sonic
Lésion Blanche, Zad Kokar, Theoreme ou encore Ventre de Biche, nombreuses sont les formations convoquées ici dans Sida, le plus bruyant plan à quatre que le Rhône et le Bas-Rhin aient généré. Ledit groupe incarne le regain de l’avant-garde new-yorkaise, de la no wave hallucinée
Nouvelle sensation dépistée par le label parisien Third Coming Records, les minots de Pardans disséminent à travers l’Europe leur propre idée de l’injection soupçonneuse du sax et du violon dans le post-punk. Originaires de Copenhague, dernier bastion mondial du punk et ses contorsions, les Pardans réhabilitent
Lésion Blanche, Zad Kokar, Theoreme ou encore Ventre de Biche, nombreuses sont les formations convoquées ici dans Sida, le plus bruyant plan à quatre que le Rhône et le Bas-Rhin aient généré. Ledit groupe incarne le regain de l’avant-garde new-yorkaise, de la no wave hallucinée
Chant hystérique et guitare poisseuse, poèmes régressifs et saccagés… Zad Kokar symbolise l’ecchymose de la no-wave rhénane - comme si une pop song se prenait un méchant poing dans la gueule. Si l'un s'inscrit davantage dans les bulles et la bière de rue, l'autre est