Vous avez tant aimé suer au rythme des Suds (à Arles) en été, parenthèse suave, presque insulaire, issue de ce doux métissage de styles qui font leur particularité ? Déçus, alors, de devoir vous en défaire, voici un événement qui ne peut que vous plaire. Car
Les incontournables et (trop) attendues fêtes en plein air fleurissent (normalement) nos printemps pour notre plus grand plaisir et chassent à grande eau nos tendances casanières. Plus suivis encore, les élans de solidarité font mouche et semblent habiter toutes les strates de la vie phocéenne.
Encore une soirée inclassable au Molotov ! Javier Campos Martinez, percussionniste de Chucho Valdes et d’Omar Sosa entre autres et maître des percussions afro-cubaines, a concocté une création inédite avec Yaite Ramos Rodriguez et son quintet Iresongo, qui oscille entre salsa, musique afro-cubaine, reggae et jazz.
Hot fréquences Samedi 20 avril, minuit. Une file d’attente impressionnante s’est formée devant les portes du Makeda. Sur scène, le groupe Baja Frequencia est en train d’enflammer le public venu en grand nombre pour célébrer la sortie de son premier album explosif. Portrait d’un succès global.
Originaire du Cuba, Yaite Ramos Rodriguez aka La Dame Blanche nous propose un savoureux mélange explosif de hip-hop, cumbia, reggae et dancehall. Chanteuse, flûtiste et percussionniste, elle est la fille de Jesus « Aguaje » Ramos, directeur artistique de l’Orquesta Buena Vista Social Club. Elle viendra représenter
Point de chute incontournable pour tous les amateurs marseillais de cumbia et autres fusions latines, cette deuxième Session met les bouchées doubles. En haut de l’affiche, La Dame Blanche oscille entre hip-hop, cumbia et dancehall, lorsque la fameuse et désormais incontournable Cumbia Chicharra (marseillaise) saura chauffer
Plus Babel la vie Après un début d’année mortifère, tandis que la culture est prise pour cible, et entre deux tours d’une élection départementale qui voit les nationalistes se nourrir grassement de ce climat délétère, la onzième édition de Babel Med tombe franchement bien. La onzième édition