Lee Scratch Perry > le 31/03 au Moulin

Faut-il encore le présenter ? Une sorte d’emblème extravagant pour les uns, un génie de la musique pour les autres… Quoi qu’il en soit, Lee Perry cultive, en public du moins, une image d’artiste dérangé à la Dali (pour reprendre les mots de Lloyd Bradley) qui lui sied à merveille. Lui, cet expérimentateur de la première garde jamaïcaine. Lui, qui est en grande partie à l’origine du courant dub. Lui, qui a lui-même incendié son studio, véritable temple de tout un mouvement… Complexe, donc. Raison de plus pour filer au Moulin.

PM

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