Deux solos de et par Nach | Nach Van Van Dance Company (2 x 40'). Dès 10 ans. Dans le cadre du cycle "ChoréograpHER" consacré aux femmes chorégraphes
Un spectacle salvateur qui célèbre la libération du corps, et le récit de l’intime comme acte révolutionnaire.
Telle une guerrière, Nach déploie une danse puissante et sensible, qui l’a propulsée sur le devant de la scène. En première partie, Nulle part est un endroit, conférence dansée sur sa rencontre avec ce qu’elle nomme les arts de l’éloquence. Toute une histoire !
Dans Cellule, elle expérimente la brutalité du geste, sa force explosive, et laisse le temps de vivre des sensations qui la traversent. Tout en les contemplant. Un solo salvateur comme pour célébrer la liberté du corps en mouvement et faire émerger les doutes, les peurs, les amours, les désirs…la propre histoire de Nach.
Nulle part est un endroit
À travers le prisme du krump, danse apparue à Los Angeles dans les années 2000, Nach fait le récit de la manière dont son corps traverse sensation, sincérité et imaginaire. Comment les voyages la fascinent et comment ils la façonnent. Comment les rencontres qui s’y produisent avec d’autres corps et d’autres pratiques (le flamenco, le butô, le kathakali…) la forgent et bâtissent son identité artistique.
Conception et interprétation Nach
Régie générale Vincent Hoppe
Production NACH VAN VAN DANCE COMPANY
Coproduction Espaces Pluriels, scène conventionnée danse / Pau
Coréalisation Théâtre 14, Festival d’Automne à Paris
Crédits photographiques Thomas Bohl
Cellule
Après avoir rencontré le Krump sur le parvis de l’Opéra de Lyon en 2005, Nach découvre la danse contemporaine avec Heddy Maalem, Angela Bello, et s’aventure également du côté des arts traditionnels d’Afrique et d’Asie comme du théâtre. Elle revient à la puissance du Krump, une danse urbaine codifiée, revendicative et exutoire, où se côtoient prise de paroles, contrôle des énergies et retour à soi.
Nach signe avec Cellule un premier solo d’une grande intensité où se projettent ses multiples influences et se lit une quête de soi. Dans cet autoportrait à fleur de peau, elle donne vie à des figures qui l’habitent et explore ses propres territoires clairs-obscurs. Elle danse la violence, la démesure, le désir et la peur.
Conception, danse, texte et image Nach
Création lumières et décors Emmanuel Tussore
Régie générale et son Vincent Hoppe
Construction des décors Boris Munger et Jean-Alain Van
www.facebook.com/nach.keepon