Il a joué du saxo avec Charlie Parker, s’est retrouvé en prison avec Cootze, le prix Nobel de littérature. Les thèses de doctorat se multiplient sur son œuvre. Ses textes sont montés au Festival d’Avignon. Depuis trois ans, la France redécouvre l’un des écrivains les plus inventifs des trente dernières années : aujourd’hui publié par une petite maison d’édition marseillaise, Le Mot et le Reste, Raymond Federman fait escale samedi à l’Alcazar… (lire la suite)

HPG est un acteur porno. Il a décidé de passer à la réalisation. Son premier film nous raconte le désir d’un acteur porno en panne qui veut réintégrer un circuit plus classique. Acteur et réalisateur, HPG ne laisse que peu de place à la fiction en filmant le récit de ce qui semble avoir été son propre parcours. Autofiction, ou plutôt ego-fiction… (lire la suite)

Dix ans après les premières secousses, assistera-t-on bientôt à un second tsunami électronique français ? Si la « French Touch » est, à bien des égards, un souvenir que l’on préfère oublier, une nouvelle génération d’artistes use aujourd’hui d’armes similaires… (lire la suite)

Léoparleur > le 8 au Balthazar
Poets Of Rhythm > le 9 à l’Espace Julien
Elektrolux > le 10 à la Machine à Coudre
Soirée roots, slam, hip-hop > le 10 à El Ache de Cuba
Gol + Iancu Dumitrescu + Ana-Maria Avram > le 10 à l’Embobineuse

Le festival Les Informelles tente l’expérience du voyage. Dans un rapprochement entre la France, la Belgique, la Russie et l’Italie, des associations se mettent en place et deviennent le lieu d’un théâtre, d’une programmation proposée aux Bernardines.

Les 13 Paniers des Carboni, c’est une histoire d’amour entre une troupe de comédiens et la commedia dell’arte, une envie d’itinérance ici et là-bas, au plus près du public, un désir de partager le théâtre. Pour un mois, le chapiteau s’est installé derrière la Major pour nous offrir pièces de théâtre, projection de films, ateliers, cabaret forum… (lire la suite)

Dans le cadre de ses Territoires Electroniques, l’équipe de Biomix accueille cette semaine un « Direct Usines », cette vitrine des ateliers initiés par l’AMI autour de la mode, du hip-hop ou de la MAO. L’occasion de faire le point sur ce dernier volet, dont vous pourrez jeudi soir avoir un aperçu… (lire la suite)

Ce monument de l’histoire audiovisuelle française présente le patrimoine culturel et artistique de la première moitié du XXe siècle, à travers les témoignages des plus grands artistes et écrivains de l’époque — Giacometti, Poulenc, Delaunay, Prévert, Cocteau, Salmon, Duchamp… la liste est aussi longue que passionnante… (lire la suite)

Le vent se lève de Ken Loach, donc. Parce que les temps sont durs peut-être. Parce que la guerre, civile ou non, et le rapport colonisateurs/colonisés est dans l’air du temps. Parce que les jurés, entre deux montées des marches en Gucci-Prada-Chanel hors de prix culpabilisent un peu. Parce que le vent, justement a trop soufflé. Et puis parce qu’il n’y avait peut-être rien d’autre à primer… (lire la suite)

La question mérite d’être posée : quel est l’intérêt de cet article ? Voici une interrogation peu banale, du moins tout autant que le contenu de la manifestation en présence. En général, cette rubrique vise à inciter le lectorat de ce journal à se rendre à certaines soirées (concerts, mixes, performances…) plutôt éloignées du format… (lire la suite)

Philippe Parreno est un artiste pop dans l’utilisation de sa personne, tantôt poseur avec des gants de boxe sur un flyer, tantôt serial killer ou héros d’une autofiction. Il est indéniablement l’un des artistes français qui a marqué les années 80. En 93 à la galerie Air de Paris en association avec Jousse Seguin… (lire la suite)