Château Brutal © The Sealy Man

Multipiste 324

Reliques © Joseph Bagur

Reliques © Joseph Bagur


Reliques > le 3 aux Demoiselles du Cinq

Nouveau venu dans la sphère pop/rock psychédélique marseillaise, le trio Reliques mélange « poésie, imprévu, et douceur d’une voix d’ange ». Le groupe demeure encore un brin mystérieux, cultive une apparence fantomatique et cite Chateaubriand sur Facebook. Voici donc l’occasion idéale de lever le voile sur ces ballades poétiques et aériennes, comme montées dans l’intimité d’une chambre, parfaites pour l’automne. Les Demoiselles du Cinq confirment ainsi leur positionnement en matière de découvertes indie.

PM

www.facebook.com/ReliquesOfficial


 

Jawohl Mi Amor © McYavell

Jawohl Mi Amor © McYavell


Jawohl Mi Amor > le 4 au Daki Ling

« Trio de rock & pop psychédélique et commotionnelle ». Voilà comment se décrit ce trio improbable, bienvenu et surtout difficile à étiqueter. Délires électroniques, chansons d’amour hallucinées, guitares électriques et voix acides, Jawohl Mi Amor sied à merveille aux esthétiques défendues par le lieu : musical mais théâtral, sérieux mais décalé. L’occasion idéale pour fêter l’ouverture d’une saison toute particulière, entre stages de clown, impros et rock’n’roll. Qu’on se le dise, le rendez-vous est donné au Jardin des Muses.

PM

www.dakiling.com


 

The cryptones © N. Forcinal

The cryptones © N. Forcinal


South of Nowhere Festival > les 4 & 5 au Cabaret Aléatoire

Le Cabaret Aléatoire offre une carte blanche à l’association Ave The Sound (principalement connue pour ses projets de compilations dont les bénéfices servent à financer l’achat de chaînes hi-fi dans les hôpitaux publics), afin de monter la deuxième édition d’un festival 100 % rock de belle facture. Deux jours en compagnie d’une bonne partie de la nouvelle scène marseillaise, à fond de rock 60’s, de garage explosif, de yéyé « endiablé », de rock’n’roll « vrombissant » et autres sensations sauvages.

PM

www.cabaret-aleatoire.com


 

John Abercrombie Quartet

John Abercrombie Quartet


John Abercrombie Quartet > le 10 au Cri du Port

Très honnêtement, nous n’avons pas encore tout écouté d’Abercrombie. Mais notre rencontre avec l’album Timeless (en compagnie de Jack DeJohnette et Jan Hammer), sorti en 74, demeure quelque chose d’intense. En particulier les onze minutes finales et aériennes (qui mettent tout le monde d’accord) en guise de point d’orgue de cette véritable perle en matière de jazz fusion. Il faut peut-être préciser que John vient du rock. Il débarque donc dans le jazz à travers une approche à forte teneur émotionnelle.

PM

www.johnabercrombie.com


 

Cha?teau Brutal © The Sealy Man

Cha?teau Brutal © The Sealy Man


Marcel Festival > le 11 au Dock des Suds

Nouveau venu souhaitant « bousculer les nuits marseillaises », le Marcel est né d’un regroupement de fêtards du centre-ville : du Pointu à La Dame Noir… Vous y rencontrerez donc vos platinistes habitués sans omettre, en haut de l’affiche, des duos de marque : The Shoes (version dj set), les clubbeurs de Get a room ! et la relève house marseillaise Amine Edge & DANCE. Mais aussi et surtout, une grande salve rock, burlesque et délirante : Château Brutal, Airnadette, Sticky Boys… Le Marcel devrait donc laisser des marques.

PM

www.dock-des-suds.org


 

Jankenpopp

Jankenpopp


Jankenpopp + Debeul Axel + Confipop (Retour vers le futur) > le 12 à la Médiathèque de Cavaillon

Entre Databit.me et la MAIN Demoparty à Arles (cette année aussi ?), le festival Micromusic à Coustellet et maintenant le dernier né du collectif Freesson, Retour vers le futur, à Cavaillon, c’est toute l’avant-garde provençale adepte de détournements électroniques dévoilée au grand jour. Outre les conférences, les ateliers, l’exposition, tout ça autour de la culture DIY, notons ici la Recycling Party le 26 (on en reparle dans le prochain) et le mini-concert de Debeul Axel, Jankenpopp et Confipop. Trois bricoleurs de l’extrême.

PM

www.freesson.com/retourverslefutur


 

Barrence Whitfield & The Savages

Barrence Whitfield & The Savages


Barrence Whitfield & The Savages > le 12 au Poste à Galène

« C’est une explosion de dynamite rock’n roll, rythm’n blues et soul music ! » Inutile de paraphraser l’équipe du Poste, conquise même avant leur précédent passage, l’an dernier. Des lives jouissifs, comme autant de charges musclées contre la frilosité. Un public en délire, le bordel sur la scène, un humour communicatif… Ils tournent cette année pour fêter la parution de leur futur album au nom évocateur : Dig Thy Savage Soul. Leur futur promet, et leur présent se dévore.

PM

www.leposteagalene.com


 

DDAA

DDAA


DDAA + Commander Keen + Chomo (Le Mauvais œil sur 2013) > le 12 à l’Embobineuse

« A partir d’une musique post-punk/avant-garde/surréaliste faites d’improvisations et de collages, DDAA crée un monde de l’étrange, captivant, emprunt de naïveté et émotionnel. » DDAA ? Déficit des années antérieures ! Trio phare issu de la scène indus du début des années 80. Un groupe fondateur. Vous en doutez ? L’Embob précise : « Il y a eu des groupes comme Can en Allemagne, Nurse With Wound en Angleterre, The Residents aux Etats-Unis et Deficit des années antérieures en France ».

PM

www.lembobineuse.biz


 

Imhotep

Imhotep


Impressions visuelles et sonores > le 12 à l’Espace Julien

Grand raout multidisciplinaire consacré aux cultures urbaines sous toutes ses formes, IVS fédère une belle brochette d’activistes locaux de tout poil, de tous horizons : d’Imhotep (IAM) à RPZ ou Iraka, de Confipop à So ?Mash ! ou Rit, d’expositions en ateliers en passant par les projections ou lectures, le Cours Julien se prépare, deux jours durant, à redonner une large partie de la diversité qui appartient à la nouvelle scène marseillaise, « pour le plaisir de tous ».

PM

http://impressionsvisuellesetsonores.fr


 

Manu Theron

Manu Theron


Manu Théron, Ange B. et Sam Karpienia > le 19 à la Mesón

La Mesón offre trois jours de carte blanche au talentueux chanteur du Còr de la Plana. L’occasion idéale pour convier des pointures issues du renouveau occitan. Ange B. : le human beatbox des Fabulous Trobadors (d’ores et déjà culte), véritablement infatigable. Sam Karpienia : la voix (unique et inimitable) de Dupain. Le futur ? « Une création totale, affranchie des poncifs de la musique traditionnelle, de façon à la fois rigolote et enthousiaste », nous avait même confié Manu. Le futur c’est maintenant, donc.

PM

www.lameson.com