Les Anglo-Saxons ont toujours une longueur d’avance. Quand nous découvrons à peine Costello, Kinks ou Jam à l’âge de dix-huit ans, eux les écoutaient déjà à douze pour les assimiler à quinze… (lire la suite)

Film monument dans l’histoire du cinéma, Les vampires est construit sur une série de dix épisodes pour une durée totale de… sept heures ! On y retrouvera, entre autres, le personnage mythique d’Irma Vep… (lire la suite)

Dans sa précédente fiction, Ken Park, Larry Clark dressait le tableau provocant de jeunes américains qui trompent leur ennui dans le sexe, la violence et la perversion. Portrait sans concession, le film… (lire la suite)

Fiona fait la fermeture du fast-food d’une grise banlieue. Par excès de zèle, elle s’enferme malencontreusement dans la chambre froide et y passe la nuit, vaguement protégée par les emballages qu’elle y trouve. Le lendemain matin, dans un pavillon sinistre, son mari et ses deux enfants ne remarquent pas son absence, concentrés qu’ils sont sur les automatismes hâtifs qui précèdent une journée de travail… (lire la suite)

Après ses passages à la Classe de Fabrice, un one-man-show à succès — sans Rire et Chanson — et une dizaine de participations dans des longs-métrage français, Albert Dupontel est définitivement installé dans le paysage audiovisuel. Enragé engagé, névrotique timide, fidèle et généreux… (lire la suite)

Avec La conjuration des imbéciles, la compagnie La Mesón interpelle quiconque ose encore mettre en doute la société… (lire la suite)

A Aubagne, on fête l’arrivée du printemps par un mini-festival de danse, dont la qualité et l’esprit d’ouverture témoignent d’un certain dynamisme de la ville et de la danse contemporaine dans la région

Où vont les hommes ? Si vaste question, si pessimiste énigme… Certains se souviendront peut-être, à l’époque où Les Nuls sévissaient à la télévision, de l’une de leurs saillantes parodies publicitaires concernant la drogue. A l’origine, des images belles et heureuses de la réalité démontraient (de manière quelque peu propagandiste) à un jeune qu’il pouvait trouver la force de… (lire la suite)

A force de la ramener à longueur d’éditos râleurs et enflammés, on en avait presque oublié qu’il existe encore, malgré tout, des raisons d’être contents de vivre au XXIe siècle. La semaine dernière par exemple, notre petit laïus se transformait en pamphlet contre la nouvelle loi sur le téléchargement, mettant de côté l’objet même de la controverse… (lire la suite)

Avec ce French Cuisine, succulent nouvel album downtempo évoquant les plaisirs culinaires, on pourrait, à tort, assimiler Alif Tree à un rescapé de la vague lounge. La musique qu’il produit, savoureuse, ne s’apparente pourtant pas à cette simple mode (plutôt que réel courant artistique) qui sévit dans quelques restaurants branchés au début des années 00… (lire la suite)

Il est des parcours qui forcent le respect : retour sur celui, tumultueux, du créateur allemand Peter Mertes, qui ouvre ce week-end une boutique à Marseille… (lire la suite)

Dans les vidéos de Peter Bogers, qui scrute les codes de comportement dans l’espace public à travers une caméra intimiste, le voyeur et l’objet du regard échangent leurs positions. Invité à la galerie District par Vidéochroniques, il développe une réflexion autour du regard sur l’autre dans un contexte supposé de « guerre des civilisations »… (lire la suite)

Nous vous le disions dernièrement, il est des films comme des vins : leur maturation est une variante non négligeable de l’œuvre. On avait laissé ce film-charnière de Téchiné au fond de la boue… (lire la suite)

Le film décortique parfaitement la montée et la chute d’Enron, gros scandale financier où la morale fut loin d’être sauve, puisque les poches de financiers véreux se remplirent au détriment de celles de milliers de personnes… (lire la suite)

Il est amusant de constater que l’Inde marqua les esprits de quelques grands réalisateurs européens, et fut le sujet d’œuvres iconoclastes au sein de carrières illustres. On pense entre autres à l’India de Rossellini.. (lire la suite)

Quinze ans après ses débuts, le groupe de Tim Gane et Laetitia Sadier reste une énigme. Comment a-t-il pu imposer un univers aussi cohérent que singulier en puisant dans des idiomes pourtant très différents les uns des autres… (lire la suite)

Installé à Marseille depuis quelques années, Alif Tree, ingé-son de formation, est de fait un producteur downtempo qui connaît son affaire. Après avoir sorti son premier album au bon moment, il nous avait enchanté en 2002 avec le second… (lire la suite)

Evénement : le collectif mythique de Detroit sort pour la première fois en CD une compilation rétrospective de ses nombreux faits d’armes. Pour qui a un jour été happé par le souffle épique de la techno… (lire la suite)

De culture hardcore « staight-edge », Liar n’a jamais fait mystère de ses accointances avec le metal, aussi noir puisse-t-il être – pour preuve ces paroles qui n’ont jamais vraiment engagé à la fraternisation… (lire la suite)

Clarika le 30 à l’Espace Julien
Jazoo Project le 30 au Cri du Port
Jad Wio le 31 au Poste à Galène
Zong le 1er pour l’ouverture du magasin Pardon !
Arthur H le 4 à l’Espace Julien

Semaine mondiale des auteurs vivants de théâtre
Arenc en fête
L’Art renouvelle le Lycée le Collège et la Ville
Est-Cris

Emilio Calcagno, ancien danseur du ballet Preljocaj, et Olivier Dubois, interprète chez Jan Fabre, s’associent pour une première création qui invite la danse à la rencontre des bandes dessinées de Stéphane Blanquet… (lire la suite)

Pour leur huitième édition, les Rencontres du Cinéma sud-américain mettent le cap sur le Mexique et s’invitent exceptionnellement à la Friche pour proposer la découverte, sur deux jours, d’une cinématographie terriblement vivante… (lire la suite)

Depuis de nombreuses années, Eric Caravaca creuse, en toute discrétion, son sillon dans le paysage cinématographique français. A l’écart de l’inflation médiatique, il a notamment tourné avec Noémie Lovsky, Jean-Pierre Limosin, Patrice Chéreau, Lucas Belveaux, et signe… (lire la suite)

Entendons-nous bien : le but de cette chronique n’était pas de houspiller un blockbuster de plus avec la prétention intellectuelle qui nous caractérise. Nous voulions VRAIMENT voir ce film. Et nous avions deux bonnes raisons : Destination finale 1 et… Destination finale 2 — deux petits bijoux de la comédie d’horreur… (lire la suite)

A la galerie Porte-Avion, la jeune artiste française John John brouille les pistes avec une exposition intrigante… (lire la suite)

Avec un titre en forme d’hommage au génial Lee Hazlewood, venu enregistrer en Suède l’album Cowboy in Sweden (1970), cette compilation – presque irréprochable – reflète à merveille les rêveries néo-folk scandinaves… (lire la suite)

Lorsque Ann surprend Thomas avec une autre femme, elle décide de fuir, de disparaître. C’est son désespoir, sa désillusion qui provoque le changement. Peut-être a-t-on droit à plusieurs vies… (lire la suite)

A l’occasion du Salon du Livre 2004 qui mettait à l’honneur les écrivains russes, Denoël publiait La Critique macédonienne de la pensée française de Victor Pelevine… (lire la suite)

Espagnol sous haute influence des indépendants américains, Juaco s’est lancé il y a quelques années dans la mise en scène du personnage du Frustré, jeune binoclard boutonneux qui, comme son nom l’indique… (lire la suite)