Eric le Lann trio

Jazz

Eric Le Lann - Trompette Henri Florens - Piano Sylvain Romano - Trompette Longtemps considéré comme la synthèse parfaite du style de Miles Davis et de Chet Baker, Eric Le Lann s'est imposé dès ses débuts comme un soliste hors pair. il sera sur la scène du Jam Marseille avec Henri Florens au piano et Sylvain Romano à la contrebasse.

Eric Le Lann - Trompette
Henri Florens - Piano
Sylvain Romano - Trompette

Longtemps considéré comme la synthèse parfaite du style de Miles Davis et de Chet Baker, Eric Le Lann s'est imposé dès ses débuts comme un soliste hors pair au phrasé et au son tout à fait personnels. Musicien extrêmement cultivé, il connaît parfaitement l'histoire du jazz et de ses grands interprètes, qu'il a intégré dans son jeu, sans jamais chercher à imiter ses influences. Ses références à la trompette sont Louis Armstrong et Clifford Brown. Quand on lui demande quel est le musicien qu'il admire le plus, il répond "Martial Solal..."

Cet immense trompettiste ne pouvant être accompagné que par d'immenses musiciens, il sera sur la scène du Jam Marseille avec Henri Florens au piano et Sylvain Romano à la contrebasse.

Le Jam
Les 26 et 27 mars : 20h30-23h30
10 (+ adhésion : 3 €)
https://www.facebook.com/pages/Le-JAM/1514646215474420
42 rue des Trois Rois
13006 Marseille
06 29 25 16 79

Article paru le mercredi 20 mars 2019 dans Ventilo n° 425

Éric Le Lann trio > Les 26 et 27/03 au Jam

Vont-ils nous la rejouer façon rencontre avec Chet Baker, ces trois-là ? On sait le flamboyant trompettiste Éric Le Lann capable du meilleur du swing : sa quête infinie d’une simplicité absolue l’impose comme l’un des trompettistes les plus convaincants de la planète jazz. Quant au Phocéen de l’étape, Henri Florens, le fait d’avoir participé à l’enregistrement d’un album avec son guitariste de frère aux côtés de Chet constitue l’un des fondements de sa légende, sans négliger la poésie de son jeu de piano, trempé dans le meilleur du bebop. Pour tenir les murs de la maison, quoi de mieux qu’un contrebassiste né dans la cité : Sylvain Romano, par l’amplitude de son art, sera le plus à même de bonifier ce trio inédit avec la délicatesse qu’on lui connaît. Et puis, aller au Jam, c’est soutenir un club d’excellence, dont l’ambition artistique ignore la prétention, alors même qu’une injonction administrative impose des travaux d’urgence. Un financement participatif est lancé et… encore un effort pour sauver le Jam !

LD

www.journalventilo.fr/sortie/96190