TO THE VANISHING POINT – This is where it all began (Jerkov/Mosaïc)

To the vanishing point… ou comment percevoir un point de fuite mélancolique et aérien, donc impalpable. Voilà l’équation que nous propose ce groupe suisse, avec ce premier jet remarquablement inspiré… (lire la suite)

To the vanishing point… ou comment percevoir un point de fuite mélancolique et aérien, donc impalpable. Voilà l’équation que nous propose ce groupe suisse, avec ce premier jet remarquablement inspiré. Pourtant, ces nouveaux venus qui n’en sont pas vraiment (on retrouve un ancien Shovel à la guitare) ne s’appesantissent pas sur les divagations sentimentales. Par ce mélange d’acoustique et de synthétique (d’où la présence d’un synthétiseur), ils traduisent une somme d’ambiances contradictoires, entre légèreté pop et énergie rock, allant jusqu’à s’afficher en clone de dEUS (Un Anyway qui dépasse d’ailleurs, en qualité, leur dernière production). On remarquera la présence de Chris Wicky (Favez) et Raph Enard (Magicrays) sur The monster hiding under my bed, signe qu’en Suisse, on sait travailler en famille.

dB