Istres est un vieux village et une ville nouvelle. Entre étang-s, collines et plaine de la Crau, les ZACs des Salles, de Trigance, des Quatres-Vents, de Romaniquette se remplissent durant les années 1970 et 1980. Ces plans ont prévus parcs, espaces verts, mails piétons, chemins d'écoliers que nous arpenterons dans le calme et la volupté.
Une journée complète à explorer cette ville nouvelle, pour y apprendre ensemble comment la nature rend service à la vie urbaine, et comment elle nous aidera à nous adapter au changement climatique.
L’action municipale, à travers les actions d’urbanisme passées, en cours et du rôle du service des Espaces Verts, y seront éloquentes et exemplaires.
INFOS PRATIQUES
Marche d'environ 12 kilomètres
Rendez vous à 10:45 devant l'Office de Tourisme d'Istres, 30 allées Jean Jaurès. Retour au même endroit aux alentours de 16:30 et à Marseille 1 à 2 heures après.
Pour s'y rendre depuis la Gare Saint-Charles de Marseille :
la proposition est calée sur le TER de la Côte Bleue départ 9:06
arrivée à la gare d'Istres à 10:24 ( Attention ! Ne descendez pas à la gare de Rassuen). De la gare, descendre tout droit 700m l'avenue A. Briand, la rue du Clos.
Au cas où ce TER serait supprimé, prendre Le Car ligne 34 départ à 8:45 ou 9:45 pour une arrivée à Martigues Place des Aires à 9:32 puis le bus Ulysse ligne 25 à 9:55 pour une arrivée à Istres Gare Routière à 10:20.
Prévoir une bouteille d’eau, un pique-nique, des chaussures et vètements adaptés.
Cette promenade s’inscrit dans le programme européen Nature 4 City Life porté par la Région Sud Provence-Alpes-Côte d'Azur qui veut favoriser une meilleure intégration de la nature au sein du projet urbain dans un contexte de changement climatique. En partenariat avec les métropoles régionales Métropole Nice Côte d'Azur, Toulon Provence Méditerranée et Aix-Marseille-Provence Métropole.
Damien Bœuf
Ses coups de cœur La Sociologie de Marseille par Michel Peraldi. « Je le trouve historique : cette idée selon laquelle nous ne sommes plus une métropole ou un grand carrefour international mais un bled provincial avec une économie résidentielle, c’est vachement bon, ça permet de coller au diagnostic. » Philippe Pujol. « Quartier Shit, La Fabrique du monstre, ça a été super fort, il a fait du bien à tout le monde. » Yohanne Lamoulère. « Ses photos d’ados des quartiers nord sont à hurler. Elle attrape un truc, un morceau de Marseille, c’est une poète du lieu, ça rentre en vibration, ça parle et ce n’est pas politiquement correct. » Eric Pringels. « Il fait des photos en noir et blanc à contre-jour sur la Canebière, qui sont incroyablement belles avec des gueules, qu’on dirait dessinées par Goossens. » Olivier Bedu. « Avec ses bancs de sable autour de Félix Piat, il a réinventé s’asseoir, s’adosser, se protéger de la pluie, pour les vieux Comoriens. Des chantiers écoles qui inventent une manière de ne pas faire pour le prince mais pour les résidents. » Le collectif ETC. « Des urbanistes venus de Strasbourg, installés à la Belle de Mai, qui ont construit la grande table de Plaine. »