Maxime Atger Trio & Dizzylez

Direction artistique : Leïla Martial, Rémi Leclerc, Sorel Eta
Composition : Leïla Martial, Rémi Leclerc, Ndima
Interprètes : chanteuses du groupe Ndima : Angélique Manongo, Emile Koulé, Espérance Moundanga

Percussionnistes du groupe Ndima : Gaston Ebé, Michel Kossi
Musiciens français : Leïla Martial, Rémi Leclerc, Eric Perez

Coordinateur artistique (Manager, ethnologue, traducteur, accompagnateur des Aka) : Sorel Eta

Aka est un répertoire unique mêlant les polyphonies de la forêt équatoriale, les percussions corporelles, le langage imaginaire et la transe.

Leïla Martial passe le plus clair de son temps à chanter, danser et imiter les langues étrangères depuis sa plus tendre enfance. Vocaliste, compositrice, elle est lauréate des Victoires du Jazz, artiste vocal 2020.
Ce projet est né d’une passion commune de la chanteuse et de Rémi Leclerc pour les chants polyphoniques des pygmées Aka et du désir de confronter leurs univers musicaux respectifs au leur afin d’en créer un nouveau ensemble, totalement inédit.
Rencontrer un jour ces chanteuses aux polyphonies mystérieuses, reines du yodel, constituait un rêve d’enfant pour l’une, d’ado pour l’autre. Ce projet interculturel entre des chanteuses et musiciens Aka et des chanteurs percussionnistes français comprend une immersion dans la forêt, des résidences d’écriture et de création, la réalisation de concerts en France et au Congo, l’enregistrement d’un disque et la réalisation d’un documentaire.

Composé de 2 percussionnistes Aka et six voix dont trois chanteuses Aka, une vocaliste européenne, un body-percussionniste/chanteur et un bassiste vocal, la dimension organique prédomine dans cette musique aux accents multidirectionnels.

Ici, la voix est au centre de l’exploration et devient l’instrument de tous les possibles. C’est un voyage sans paroles, au coeur de la nature humaine, dans sa dimension de partage. On assiste à un joyeux mélange de sons, de vibrations, d’expressions vocales. Il y a dans la rencontre de ces 2 mondes comme l’avènement d’une nouvelle communauté de sons, un « nouveau peuple de sons ».