Port-de-Bouc a l’exceptionnelle qualité d’être un dictionnaire, à taille humaine et quasi exhaustif, des différentes formes urbaines et du rôle qu’elles laissent à la nature: intime ou grandiose, sauvage ou jardinée, privée ou collective.
Nous explorerons cette si particulière commune pour y apprendre ensemble comment la nature rend service à la vie urbaine, et de l’aide qu’elle nous apportera pour s’adapter au changement climatique.
Le projet municipal, à travers les actions d’urbanisme, passées et en cours, et du rôle du service des Espaces Verts, y sera éloquent et exemplaire.
RDV à 8h20 à la gare Saint-Charles de Marseille pour prendre lecar ligne 34 de 8h30, tarif plein 7,50euros jusque Martigues où nous prendrons la correspondance avec le bus Ulysse n°22, tarif 1 euro, ou RDV à 9h51 devant la gare de Port-de-Bouc retour prévu à la gare de Port-de-Bouc vers 16h trajet vers Marseille par les mêmes lignes, mêmes tarifs Boucle de 12km —> prévoir de bonnes chaussures, des vêtements adaptés à la météo, de l’eau et un pique-nique.
Cette promenade s’inscrit dans un programme de 5 ans du projet Nature 4 City Life (2017-2022) favorisant une meilleure intégration de la nature au projet urbain dans un contexte de changement climatique.
Portrait de Nicolas Mémain > https://www.journalventilo.fr/identite-remarquable-nicolas-memain/
Damien Bœuf
Ses coups de cœur La Sociologie de Marseille par Michel Peraldi. « Je le trouve historique : cette idée selon laquelle nous ne sommes plus une métropole ou un grand carrefour international mais un bled provincial avec une économie résidentielle, c’est vachement bon, ça permet de coller au diagnostic. » Philippe Pujol. « Quartier Shit, La Fabrique du monstre, ça a été super fort, il a fait du bien à tout le monde. » Yohanne Lamoulère. « Ses photos d’ados des quartiers nord sont à hurler. Elle attrape un truc, un morceau de Marseille, c’est une poète du lieu, ça rentre en vibration, ça parle et ce n’est pas politiquement correct. » Eric Pringels. « Il fait des photos en noir et blanc à contre-jour sur la Canebière, qui sont incroyablement belles avec des gueules, qu’on dirait dessinées par Goossens. » Olivier Bedu. « Avec ses bancs de sable autour de Félix Piat, il a réinventé s’asseoir, s’adosser, se protéger de la pluie, pour les vieux Comoriens. Des chantiers écoles qui inventent une manière de ne pas faire pour le prince mais pour les résidents. » Le collectif ETC. « Des urbanistes venus de Strasbourg, installés à la Belle de Mai, qui ont construit la grande table de Plaine. »